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Mise à jour : novembre 2008
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4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Ordre Général, n°393, de la 6° Armée :
Régiment qui, depuis le début de la campagne, s’est signalé en toutes circonstances, par sa belle tenue au feu, sa ténacité dans la défensive, son ardeur dans l’attaque.
Le 24 août (1916), sous l’énergique impulsion de son chef, le lieutenant-colonel de Bruignac, s’étant tout d’abord heurté à une partie de village puissamment organisée par l’ennemi, l’a enlevée pied à pied, aux prix d’efforts acharnés qui ont duré toute la nuit ; a fini par atteindre le 25, au matin, les objectifs qui lui avaient été assignés, les a conquis, s’y est organisé et y a résisté victorieusement, sous un bombardement des plus intenses, à tous les efforts de l’ennemi pour l’en repousser.
Au P.C. le
Signé : Fayolle
Ordre du
Général en Chef, n° 14.208, du
Sous le
commandement du lieutenant-colonel de Bruignac,
vient
d’affirmer de nouveau sa réputation, en enlevant brillamment, à
l’attaque du
Signé : Pétain.
Par Ordre n°46 « F » du Général Commandant en Chef,
En date du
Ordre Général, n°626, de la 6e Armée :
Régiment animé
du plus bel esprit de sacrifice et d’un sentiment élevé du devoir.
Pendant la
période du 28 mai au
Q.G.A., le
Le général Degoutte, commandant la 6e Armée,
Signé :
Degoutte
Ordre du
Général en Chef, n°22.518, du
Régiment animé du plus bel esprit de sacrifice et d’un sentiment élevé du devoir. Sous l’ardente impulsion personnelle de son chef, le lieutenant-colonel Bidoz, a soutenu, du 27 mai au 4 juin, le choc des forces allemandes supérieures en nombre, remplissant, dans des conditions très difficiles, toutes les missions qui lui étaient confiées.
Du 18 au 26 juillet, prenant part à la contre-offensive du Tardenois, a atteint, par des attaques successives, contre un ennemi tenace, tous les objectifs qui lui étaient assignés, pénétrant de huit kilomètres dans les positions allemandes et affirmant de nouveau son élan et sa valeur offensive.
Signé : Pétain
Ordre n°124 «
F », le port de
Ordre Général,
n°62, en date du
Le général Nollet, commandant le 36e C.A., cite à l’Ordre de l’Armée :
Sous l’impulsion énergique de son chef, le commandant Allard, a atteint d’emblée tous ses objectifs, s’élançant à l’attaque avec un ensemble et un entrain magnifique. Malgré le bombardement ennemi, et en dépit d’un terrain détrempé et bouleversé par les obus, a organisé habilement la position, maintenant intégralement le terrain conquis.
Le
Signé : Nollet
Ordre Général,
n°91, de la 1er D.I., du
Compagnie d’élite, qui, depuis le début des hostilités, n’a cessé de faire preuve des plus belles vertus militaires et de l’abnégation la plus absolue.
Le
Compagnie
d’élite qui s’est distinguée à
En avril 1917, sous le commandement du lieutenant Caffeau, malgré des pertes très sensibles, est partie superbement à l’assaut pour la conquête d’une position importante.
Sous les
ordres du capitaine Aligard, est entrée, le
Ordre du Régiment, n°55, du 1er octobre 1918 :
La 5e Compagnie, commandé successivement Par le lieutenant Paris et Lieutenant Carré ;
La 7e Compagnie, commandée par le sous-lieutenant Messager :
Pendant les durs combats du 28 au 30 Mai, de ténacité et d’endurance lorsqu’il s’agissait de retarder ou d’arrêter l’avance d’un ennemi supérieur en nombre, a, le 21 Juillet, marché magnifiquement à l’attaque, traversant les barrages d’artillerie et de mitrailleuses les plus intenses, a atteint son objectif après un combat acharné et s’y est maintenue.
Le lieutenant-colonel, Commandant le 1er Régiment d’Infanterie,
Signé : Bidoz
Ordre Général, n°237, de la 5e Armée, du 1er juin 1917 :
Unité qui s’est entièrement sacrifiée en luttant contre les nombreuses mitrailleuses qui défendaient les tranchées allemandes. Exposée à un feu meurtrier de mitrailleuses, d’artillerie et de grenades, gradés et hommes, sous le commandement de l’adjudant Peyrin, tué au cours du combat, servirent les pièces jusqu’au dernier mitrailleur.
Ordre Général,
n°129, de la 1er D.I., du
Dans toutes les offensives du régiment et en particulier dans celle des Flandres, sous l’énergique impulsion du Médecin-major de 2e classe Azam, a fonctionné d’une façon parfaite, malgré des pertes cruelles, et a fait l’admiration de tous, en effectuant rapidement la relève des blessés, de jour comme de nuit, sous les plus violents tirs de barrage et malgré les difficultés d’un terrain détrempé et complètement bouleversé.
Le général commandant la 1er D.I.,
Signé : Grégoire
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Ordre n° 237 :
Le 4 septembre
l916, sous l'énergique impulsion de son chef, le lieutenant-colonel
PINAULT DE
Signé : MICHELER
Par le général
commandant
Sous le commandement du lieutenant-colonel MOULOISE, a contenu le15 juillet 1918 la ruée allemande sur la deuxième position. S'est ensuite porté à l'attaque dans un élan superbe, enlevant successivement deux villages, réalisant une avance de deux kilomètres, capturant plus de 150 prisonniers, 2 canons et plusieurs mitrailleuses. Soumis à de violentes contre-attaques, s’est maintenu énergiquement sur une position d'où il a facilité la reprise de l’attaque.
Par ordre
Ordre n° 39 :
Les 1er et 2e bataillons du 2e régiment d'infanterie se sont élancés hors des tranchées avec le plus bel élan pour se porter à l'assaut d'une localité dont l’organisation avait permis d'accumuler toutes les difficultés. Ont montré un courage et une vigueur qui ont permis, malgré une vive résistance, de prendre pied dans le village attaqué et de s'y maintenir.
(17/12/1914, St Laurent Blangy, Pas de Calais)
le 3e bataillon est, cité en ces termes, à l'ordre n° 85 de la 10e armée :
Le 3e
bataillon du 2e régiment d'infanterie : Chargé de l'attaque d'une ligne
de
tranchées (est de Roclincourt, Artois ;
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Le général commandant la 10° Armée cite à l’ordre de l’Armée :
Sous l’habile direction de son chef, le lieutenant-colonel Petitjean Roget, s’est emparé d’une position fortement organisée en profondeur, puis poursuivant l’ennemi sans arrêt, l’a empêché, grâce à la rapidité et à l’activité manœuvrière déployées, de prolonger sa résistance sur des lignes préparées et fortement pourvues de défenses de toutes sortes.
A gagné en quatre jours sept kilomètres de terrain en profondeur, fait près de 300 prisonniers et capturé 4 canons, de nombreuses mitrailleuses et un important matériel de guerre.
Au Quartier Général, le 1° novembre 1918.
Le général commandant la 10° Armée,
Signé : MANGIN.
ORDRE GENERAL N° 615
Le général commandant la 3° Armée cite à l’ordre de l’Armée :
Régiment dont la valeur et l’endurance ne se sont pas démenties au cours de la campagne de 1918.
A donné au
cours de la poursuite de l’ennemi, au début de novembre 1918, de
nouvelles
preuves de l’initiative de ses cadres et de l’ardeur de la troupe. Sous
les
ordres du commandant Voituret, a réalisé en
cinq
jours une progression de plus de
Est entré le premier dans Vervins puis, continuant son énergique pression sur l’adversaire en retraite, s’est emparé d’un matériel immense et de nombreux prisonniers.
Au Quartier
Général, le
Le général commandant la 3° Armée,
Signé : HUMBERT.
ORDRE DU CORPS D’ARMEE N° 201 « P »
En date du
Le général commandant le 31e C.A. cite à l’ordre du corps d’armée :
Le 2°
Bataillon du 3° R.I., sous le commandement du capitaine Jay, ayant reçu
le
Le 12 avril, prenait part brillamment à la contre-attaque qui reprenait le village de Hangard-en-Santerre aux Allemands.
Et le
Le 3° Bataillon du 3° R.I., sous le commandement du chef de bataillon Bienvault, chargé de la défense d’un point d’appui important, repoussa, pendant quatre jours consécutifs de nombreux assauts sur ce point d’appui, malgré des pertes sérieuses, et, par une contre-attaque impétueuse, refoula l’ennemi au-delà de son point de départ.
ORDRE N° 59 DU 36e C.A. DU 13.11.1917.
Le général Nollet, commandant le 36e C.A. cite à l’ordre du corps d’armée :
Groupe sous les ordres du capitaine Faublau, les neuf compagnies de mitrailleuses de la 29e D.I. ont, pendant 5 jours et 5 nuits, donné aux troupes d’assaut un appui précieux et infligé à l’ennemi des pertes sensibles, de l’aveu même des prisonniers.
La pluie, la boue, le feu ininterrompu d’une artillerie qui voulait réduire leurs pièces au silence, n’ont pu qu’exalter le moral de tous les mitrailleurs qui ont demandé comme une faveur de remplir leur mission jusqu’au bout.
(Forêt d’Houthulst, Flandres oct. 1917)
ORDRE DU REGIMENT N° 74.
Le lieutenant-colonel commandant le 3° R.I. cite à l’ordre du régiment :
Sous le commandement du capitaine Richer, a, sous un feu d’une terrible intensité, tenu dans une tranchée complètement nivelée et, ayant perdu le quart de son effectif, a effectué avec les plus grand calme la relève, ramenant ses morts et ses blessés.
ORDRE DU REGIMENT N° 77.
Le lieutenant-colonel commandant le 3° R.I. cite à l’ordre du régiment :
Sous le commandement du lieutenant Georger, a occupé pendant 27 heures un boyau isolé, en partie nivelé par le tir de l’artillerie et dans lequel la compagnie précédente avait éprouvé de grosses pertes. Malgré un bombardement extrêmement violent, n’a subi que des pertes légères, grâce au sang-froid et aux efforts intensifs déployés par tous, ainsi qu’aux dispositions judicieuses prises par ses chefs.
2 citations à l’ordre de l’armée et 1 citation à l’ordre du corps d’armée, fourragère verte
ORDRE GENERAL
N° 409 DE
Le général
commandant
Au cours de la
journée du
Le 25 au matin, a continué à tenir fermement pour permettre l’arrivée des troupes fraîches, a exécuté une nouvelle contre-attaque sous les ordres de son colonel, qui s’était placé à la tête du bataillon de réserve. A été ensuite, malgré la fatigue, maintenu au combat sans fléchir jusqu’au 30 mars.
Au Q.G., le
Le général commandant le IIIe Armée
Signé HUMBERT
ORDRE GENERAL
N° 453 DE
Le général
commandant
Le 4e RI, renforcé par le 35e B.T.S.
sous l’énergique et habile
impulsion du lieutenant-colonel LACHEVRE qui venait d’en prendre le
commandement, le
Remis en ligne trois jours plus tard, a, au cours de durs combats, élargi la tête de pont encore précaire de Berry-au-Bac et refoulé l'ennemi jusqu'au camp de Sissonne, faisant de nouveaux prisonniers. Rengagé dans les premiers jours de novembre, a, pendant plusieurs journées de combat, bousculé et talonné l'ennemi, malgré les fatigues et difficultés de toutes sortes.
Au Q. G., le
Signé : GUILLAUMAT
ORDRE GÉNÉRAL
N° 1169 DE
Le général
commandant
Sous le commandement du lieutenant DELFOUR et des sous-lieutenants PASSERA et DESBOUIGES, à la suite d'une attaque allemande, précédée d'un bombardement qui avait bouleversé les tranchées de deux ouvrages confiés à sa garde, a repoussé trois assauts sur l'un de ces ouvrages, a contre-attaqué ensuite vigoureusement et a repris l'autre momentanément occupé : enfin, a poursuivi l'ennemi dans le secteur du régiment voisin et a ramené 8 prisonniers.
Au Q. G., le
(Bois de
ORDRE GENERAL
N° 410 DE
Le général
commandant
Compagnie
d'élite qui, sous le commandement du capitaine BUCARD, a fait preuve en
toutes
circonstances des plus belles qualités d'audace, d'opiniâtreté et du
plus grand
esprit de sacrifice. Du 3 au
Au Q.G.- le
Le général
commandant
Signé : DE MITRY
ORDRE GÉNÉRAL
N° 311 DE
Le général
commandant
Au cours d’une
attaque, le
Tandis que les servants restés à leurs pièces continuaient, d'exécuter le tir dont ils étaient chargés et contribuaient à arrêter l'attaque ennemie sur le front de leur régiment, les suppléants du quartier de tir défendaient l'entrée du blockhaus à la grenade et repoussaient l'ennemi.
Le Général
commandant
Signé : DUCHESNE.
(Cette citation
sera transformée plus tard en citation à l'ordre de l'armée par le
général
PÉTAIN commandant en chef, par ordre du
ORDRE GENERAL N° 58 DU 5e CORPS D’ARMEE
Le général commandant le 5e C.A. cite à l’ordre du corps d’armée :
Régiment
d'élite qui sous les ordres du colonel DEFONTAINE, s'est distingué en
Argonne
par sa bravoure et sa ténacité ; en soutenant pendant de longs mois une
lutte
opiniâtre et de chaque jour contre un adversaire puissamment outillé et
en maintenant
intégralement ses positions de la cote
1’ennemi les plus lourdes pertes.
Aux armées, le
Le Général commandant le 5e C.A.,
Signé : PELLE
ORDRE GÉNÉRAL N° 163 DU 5e CORPS D'ARMEE
Le général commandant le 5e C. A. cite à l'ordre du corps d'armée :
Sous le commandement énergique du chef de bataillon TISSIER, a maintenu ses positions contre une puissante attaque précédée d'un bombardement prolongé et violent. Rien qu'entouré de trois côtés et au milieu de tranchées bouleversées, a réussi à refouler pendant quatre jours et quatre nuits plusieurs attaques, infligeant à l'ennemi de grosses pertes et lui faisant des prisonniers.
(Argonne ; 13-
ORDRE GÉNÉRAL No 17 DU 5e CORPS D'ARMÉE
Le général commandant le 5e C. A. cite à l'ordre du corps d'armée :
Le
S'était déjà
distinguée à plusieurs reprises au cours de la campagne, et notamment
les 16 et
Au Q.G., le
Signé : PELLE.
ORDRE GÉNÉRAL No 17 DU 5e CORPS D'ARMÉE
Le général commandant le 5e C. A. cite à l'ordre du corps d'armée :
Le
A toujours été
à la peine et à l’honneur. S'était déjà distinguée à plusieurs reprises
au
cours de la campagne, notamment le
Au Q.G. le
Signe : PELLE
Le général commandant la 9e D. I. cite à l'ordre de la division :
Les 2e et 4e
sections
de la 1ER COMPAGNIE.
Découvertes par l'ennemi grâce à ses fusées lumineuses au moment où elles creusaient de nuit une tranchée, ont fait preuve de courage et de sang-froid en continuant leur travail malgré la mise hors de combat, par des feux convergents, de près de la moitié de leur effectif.
Au G. Q. G., le 1er janvier 1915.
Combats de Boureuilles (20-
ORDRE GENERAL N° 314 DE LA 9e DIVISION
Le général commandant la 9e division cite à l’ordre de la division :
Le 1er juin 1918, la 2e compagnie,
entraînée par son chef, le
capitaine BUCARD, a exécuté un coup de main sur les organisations
allemandes.
Avec audace et entrain, grenadiers et voltigeurs se sont portés à
l’assaut, ont
avancé de
La 2e compagnie a été aidée dans sa mission par les grenadiers d’élite des 1ère , 3e et 10e compagnies.
Au Q.G., le
Signé : GAMELIN
Alsace ; Ammertswiller
3 citations à l’ordre de l’armée et 1 citation à l’ordre du corps d’armée, fourragère verte
Le général MANGIN, commandant
« Admirable
régiment, aussi fougueux dans l’attaque qu’inébranlable dans la
résistance.
Sous le commandement du lieutenant-colonel ROUSTIC, blessé le septième jour après
le début de l’attaque, a, pendant les combats du 18 au
acharnée d’un ennemi supérieur en nombre et malgré les difficultés d’un débouché périlleux, enlevé, dans un élan superbe, toute une série de bois et de crêtes hérissées de mitrailleuses, un village opiniâtrement défendu et, le 25, après avoir repoussé une puissante contre-attaque, s’est emparé, dans une ruée irrésistible, d’une croupe boisée qui constituait le dernier réduit de la résistance ennemie.
Malgré des
pertes sévères, a conservé intacte sa valeur combative, faisant 240
prisonniers, capturant 12 canons, de nombreuses mitrailleuses et un
matériel
important, avançant de
Opérations de l’Ourcq ; juillet 1918
Citation à
l’Ordre de
« Admirable régiment, possédant au plus haut point les plus belles qualités offensives.
Sous les
ordres du lieutenant-colonel BOGE,
du 2 au
Pendant deux
jours, poursuivant avec succès, renversant tous les obstacles dans ses
assauts
répétés et irrésistibles, s’est emparé de trois villages et de nombreux
points
d’appui âprement disputés. Alors qu’il semblait épuisé, dans un sursaut
d’énergie, à bousculé l’ennemi, lui arrachant
un
nouveau village et de solides organisations. Grâce à la continuité de
ses
efforts, a progressé de
Secteurs de Soissons et de Sancy (Aisne)
Le général commandant l’Armée française de Belgique l’a cité à l’Ordre de l’Armée, avec le motif ci-après :
« Merveilleux
régiment alliant à l’audace la ténacité et l’héroïsme. Sous les ordres
du
lieutenant-colonel BOGE,
après trois jours de combat, a attaqué, le
Le 19 octobre, continuant sa course accélérée, a contraint l’ennemi, après une manœuvre habile et hardie, à lâcher Thielt où il est rentré aux acclamations des populations délivrées.
Bousculant
ensuite l’adversaire décontenancé, capturant les détachements attardés, a
jeté
l’ennemi à la rivière après lui avoir arraché de nouveaux points d’appui
et
deux villages.
Le lendemain
encore, suivant sans merci la trace de l’adversaire dans un effort
magnifique
d’audace, a forcé le passage de
Pendant cette
période de combats où sa valeur incomparable s’est à nouveau manifesté, a
progressé de
(Flandres Belges)
Le 3e BATAILLON
a été cité à l’Ordre de
« Placé en
réserve sous le commandement du commandant BUZANÇAIS a, au début de l’action du
Prise du village de Bezonvaux dans la nuit du 15 au 16.
A l’Ordre du 3ème corps d’armée :
« Le général commandant le 3ème corps d’armée se fait un devoir de signaler à tous la belle conduite du 5ème Régiment d’Infanterie au cours des divers engagements auxquels il a été appelé à prendre part depuis le commencement de la campagne.
Le 5ème Régiment d’Infanterie,
devant la position du fort de Brimont, a
pu arrêter, pendant cinq jours, sous une canonnade redoutable, les
attaques
furieuses de l’ennemi et conserver nos positions après avoir perdu
successivement ses deux chefs de corps, le colonel DOURY et
le lieutenant-colonel DE LARDEMELLE
qui
trouvèrent dans ces combats une mort glorieuse. Le général commandant le
corps
d’armée cite à l’Ordre du corps d’armée le 5ème Régiment
d’Infanterie, ainsi que les vaillants chefs qui ont
su faire pénétrer dans l’âme de leurs soldats les plus belles qualités
qui le
distinguent »
(Septembre 1914)
« Le 13 août, sous les ordres du capitaine ARTIGAUD, a vigoureusement contre-attaqué le flanc gauche d’une attaque ennemie qui avait réussi à enfoncer les premières lignes du régiment voisin et a facilité la réussite de contre-attaque de ce régiment. Le 14 août, a enlevé des éléments de tranchées solidement organisées, a fait 16 prisonniers et pris deux mitrailleuses, a organisé sa conquête et l’a conservée en dépit des tentatives répétées de l’ennemi ; le 23 août, a repoussé un coup de main ennemi précédé d’un violent bombardement et a fait subir des pertes sérieuses à l’ennemi »
Sud du village d’Ailles (Chemin des Dames) ; 13 au
« Sous le commandement du sous-lieutenant BERNARD, a été envoyée à l¹improviste au point le plus délicat du secteur tenu par le Régiment, l’a organisé au contact d’un ennemi entreprenant et sous un bombardement violent, l’a défendu âprement contre les nombreuses tentatives allemandes dans de furieux combats à la grenade menés hors de la tranchée.
Malgré les pertes considérables, à proximité d’un abri à munitions qui flambait, malgré la résence de nombreux cadavres que les circonstances ne permirent pas d’évacuer ou d’ensevelir immédiatement, elle conserve intacte ses qualités offensives, ayant d’ailleurs juré de venger la mort d’un officier très aimé »
Sud du village d’Ailles (Chemin des Dames) ; 13 au
Le lieutenant-colonel LE BEURIER cite à l’Ordre du régiment la 5ème Compagnie commandée par le sous- lieutenant DELAISSE :
« Pour avoir donné le plus bel exemple de courage et de dévouement après l’explosion d’une mine qui avait fait de nombreuses victimes, en faisant, malgré les bombes allemandes, les plus grands efforts pour retrouver les camarades ensevelis et pour remettre en état les tranchées bouleversées par l’explosion »
Fontaine- les-Cappy ;
nov.-déc. 1915
« Isolé sur la
rive droite de
Passage de
« Par son tir
efficace, grâce à des dispositions ingénieuses et rapides, a fortement
appuyé
la progression de son bataillon, au cours de la prise de Thielt et du
passage
de vive force de
Passage de
4 citations : 2 à l’ordre de l’armée, 1 citation à l’ordre du corps d’armée, 1 à l’ordre de la division, fourragère verte
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
7 citations : 6 à l’ordre de l’armée, 1 citation à l’ordre du corps d’armée, fourragère rouge
5 citations : 3 à l’ordre de l’armée, 1 citation à l’ordre du corps d’armée, 1 à l’ordre de la division, fourragère verte
Citation obtenue par la 33e Division d’Infanterie
Ordre du 17e Corps d’Armée, N° 71 du l0 avril 1915 :
« Grâce à son énergie, à sa ténacité soutenue et aux élans magnifiques de ses braves régiments, a enlevé successivement toutes les lignes allemandes de Champagne, qu’elle avait mission d’attaquer.
En décembre, la division a pris une position formidablement organisée où les Allemands avaient accumulé des moyens de défense exceptionnels.
En février et
mars, au prix d’assauts répétés, elle a conquis
La 33e Division a maintenu de haute lutte la possession des positions qu’elle avait enlevées, infligeant à l’ennemi, qui multipilait les contre-attaques pour les reprendre, les pertes 1es plus lourdes. »
Ordre du Corps
d’Armée, N° 225 du
« Sous les
ordres du lieutenant-colonel Castella, brave
et
manœuvrier, à la bataille de Moronvilliers, les 17 et
Par décision du commandant en chef, le port de la fourragère est conféré au 9e R.I.
(Décision du
Ordre Général
de
« Sous les
ordres du colonel Leroux, puis du commandant Becker, a, au cours de
l’offensive
entre Aisne et Marne, du 18 au
A toujours poussé de l’avant sans tenir compte de l’alignement avec les éléments voisins et malgré les feux de mitrailleuses ennemies qui, parfois, l’ont assailli sur trois faces. »
« Le 9e R.I., ayant reçu la mission, sous le commandement du commandant Biswang de forcer le passage d’un canal, puis d’une rivière, a rempli sa tâche avec une ardeur remarquable et, sans souci des pertes qu’il subissait, a triomphé de tous les obstacles accumulés par l’ennemi. Puis, au cours de durs combats de bois, a refoulé pied à pied l’adversaire durant quatre jours, sous des rafales incessantes de très nombreuses mitrailleuses et sous un violent bombardement de tous calibres. A atteint tous les objectifs qui lui avaient été assignés en poussant toujours de l’avant et sans s’inquiéter des progrès des unités voisines.
A fait de très nombreux prisonniers et capture un grand nombre de mitrailleuses.
(Secteur de Coucy-le-Château ; août-septembre 1918)
Ordre du 15e Corps d’Armée du
« Sous le commandement du lieutenant-colonel Becker, débouchant dans des conditions très difficiles d’une base étroite de départ, est parvenu, à force de ténacité, à l’élargir durant trois jours de combats successifs. Est parti une fois de plus à l’attaque le quatrième jour. A brisé la ligné ennemie, capturé de haute lutte 2 canons de 105, 4 canons d’accompagnement, plus de 40 mitrailleuses, fait plus de 400 prisonniers.
Complétant en fin de journée sa manœuvre, par l’engagement de ses dernières réserves, a encerclé une position voisine, dont il a ainsi permis de capturer la garnison tout entière. »
(Ouest de Guise, octobre 1918)
Ordre de la 33e Division, N° 1 du
« Le 9e régiment d’infanterie, pour le zèle et l’énergie soutenus dont il à fait preuve dans l’organisation de la défense de son secteur. »
Citations obtenues par les Bataillons du 9° R. I.
(Les Hurlus, Champagne, septembre-octobre
1914)
3e bataillon Ordre de la 33e Division,
N° 241 du
« Sous
l’énergique commandement du chef de bataillon Demont,
a enduré, sans faiblir, les 27-
(Verdun, Les Caurières, mai 1918)
Ordre de la 33e Division, N 245 du
« Chargé, dans des conditions particulièrement difficiles, d’enlever une position ennemie, a donné l’assaut, sous les ordres de son chef, le commandant Biswang, avec un élan admirable, manœuvrant sous des barrages ennemis avec une correction parfaite. A enlevé du premier coup ses objectifs fait de nombreux prisonniers et capturé trois mitrailleuses. »
(l’Ourcq, Tresne,
juin 1918)
Ordre de la 33e Division, N° 272 du
« Sous le
commandement énergique du chef de bataillon Bretillot,
a enlevé d’un seul élan, malgré la fatigue de huit jours de combats
continus
et, bien que très éprouvé par les gaz, le village d’Armentières,
réalisant
ainsi une progression de plus de
« Privé de son chef de bataillon, blessé au début de l’action, a pu, grâce à l’ardente volonté de tous, continuer à progresser et à résister à deux contre-attaques ennemies, maintenant sa position et s’emparant encore d’une vingtaine de prisonniers. »
(l’Ourcq, prise d’Armentières sur
Ourcq,
juillet 1918)
Ordre de la 33e Division, N 250 du
« Sous le
commandement énergique du lieutenant Serres, a, le
Ordre du Régiment,
N° 266 du
« Le
Ordre du
Régiment N » 266 du
« Le
Ordre du
Régiment N 266 du
« Sous le
commandement du lieutenant de Bataille (cité à. l’ordre de l’Armée pour
cette
action), soumise pendant trois jours d’une âpre lutte sans arrêt, à des
tirs de
barrage par obus explosifs, et toxiques et au tir de mitrailleuses
disposées en
échiquier sur le terrain, a conquis, parcelle par parcelle, les
positions
fortement organisées au sud d’Origny-Sainte-Benoite,
élargissant peu à peu, à force d’énergie et de persévérance, la base
dont elle
était partie le
Ordre du Régiment
N° 257 du
« Section pleine d’entrain et d’une cohésion remarquable. S’est particulièrement distinguée aux combats sur l’Ailette. Le 31 août, étant en réserve, et voyant une contreattaque sur la 2e compagnie, s’est portée en 1e ligne avec un allant merveilleux, traversant de violents barrages d’artillerie et des zones battues par les mitrailleuses. A réussi, par ses feux, à arrêter la contre-attaque en infligeant des pertes à l’ennemi.
Le 2 septembre, a arrêté une nouvelle contre-attaque bien qu’étant vivement contre battue par une mitrailleuse ennemie qui endommageait une de ses pièces et blessait son chef de section. »
Ordre du
Régiment, N° 266 du
« Le
Ordre du
Régiment, N° 266 du
« A
remarquablement appuyé la progression de la compagnie avant- garde de
bataillon, au cours des combats des 25 et
Ordre du
Régiment, N° 266 du
« Sous le
commandement du sergent Caralp, pendant les
combats
du 29 octobre au
2
citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
« Régiment d’élite, qui
s’est magnifiquement comporté dans de nombreux combats, notamment au
Bois
d'Ailly et à Verdun (1916). Du 18 au
« Dans
les attaques répétées, exécutées entre le 11 et le
Par ordre
Le 1er bataillon du 10e d’infanterie est cité à l’ordre de la 15e DI :
« Le 1er bataillon, occupant des tranchées de premières lignes bouleversées par un violent bombardement a, sous l’influence énergique de son chef le commandant Cornet, tout remis en état, tranchées, boyaux et abris malgré un tir presque continu d’obus et de torpilles »
Cette citation est tirée de notes d’un soldat du 10e RI, il a ajouter comme notes : « il n’est tombé aucune torpilles ces jours là »
Les
2ème, 3ème, 6ème compagnies et la 1ère compagnie de mitrailleuses
du Régiment :
« Appelées, sous les ordres du chef de bataillon, M. TONNET, ont prononcé une attaque vigoureuse pour dégager un Régiment pris à revers par l’ennemi et, exaltées par l’attitude énergique de leur chef, ont réussi pleinement leur mission, malgré la violence du bombardement inouï, dans une lutte de quatre jours, sans que leur moral ait failli un seul instant ».
Verdun,
4
citations : 3 à l’ordre de l’armée, 1 citation à l’ordre du corps
d’armée,
fourragère verte
Ordre Général
n°4774 du
« sous l’habile et énergique commandement de son chef le Lieutenant-colonel DE PATOURNEAUX, a, dans un élan magnifique, enlevé un point d’appui particulièrement important pour l’ennemi et une carrière, qui avec une garnison, constituait un danger constant pour nos positions. A fait toute entière prisonnière la garnison allemande et a contribué grandement au succès complet de l’opération du 24 octobre. »
Ordre Général
n°809 du
« Régiment
superbe d’élan et d’audace, aussi ardent à l’attaque qu’endurant et
tenace dans
la défense, a, sous les ordres de son Chef, le Lieutenant-colonel DE
DOUGLAS,
donné une preuve nouvelle de ses solides qualités militaires pendant les
journées du 17 au 21 avril. S’est emparé des tranchées successives
allemandes
sur
Le Général Commandant
l’Armée
Signé : ANTHOINE
Ordre Général n°27f du
« Le Général Commandant
en chef décide que le 11ème Régiment d’Infanterie qui a
obtenu deux
citations à l’ordre de l’armée pou sa brillante conduite devant l’ennemi
aura
droit au port de la fourragère. »
Le Général Commandant en
Chef
Signé : R. Nivelle
ORDRE GENERAL n°626 du
« Sous les ordres du
Commandant DE JUSIONDY, puis du Colonel ANGELI, a mené sans arrêt la
lutte du
18 au
Le Général DEGOUTTE,
Commandant
Signé : DEGOUTTE
ORDRE DU CORPS D’ARMEE n°369/p
du
« Sous le commandement du Commandant GILLET, a le 17 octobre forcé le passage de l’Oise, devant Origny-Ste-Benoîte. Arrêté par un réseau de il de fer intact, s’est accroché au terrain, malgré la crue de l’Oise qui menaçait ses passerelles après avoir dû enlever toutes les maisons du village l’une après l’autre. S’en est finalement emparé malgré une résistance acharnée de l’ennemi, y capturant un matériel de guerre très important. Pendant la période du 5 au 10 novembre a forcé une deuxième fois le passage de l’Oise
5 citations : 4 à l’ordre de l’armée, 1 citation à l’ordre du corps d’armée, fourragère jaune
2 citations à l’ordre de l’armée, une à la division, fourragère verte
"Très bon
régiment qui s'est porté, le
Sous le
commandement énergique de son chef, le colonel Trestournel,
a réalisé de la façon la plus heureuse sa progression sur
Lors de
l'offensive allemande du
Ordre général
n° 213 de
"Excellent régiment qui depuis le début de la campagne, s'est signalé en toutes circonstances : en 1914 et 1915, en foret d'Apremont et au bois Le Prêtre, en 1917, aux attaques de champagne, du massif de Moronvilliers, d'avril à août 1918, dans la région de Montdidier. Vient de faire preuve, pendant six mois, de la plus belle endurance, en fournissant du 30 mars au 12 octobre, dans de conditions particulièrement pénibles, des efforts continus, montrant les meilleures qualités offensives, sous les ordres de son chef, le colonel TRESTOURNEL.
Le 16 août au
Cessier et aux Loges, a enlevé sur
Du 9 septembre
au 12 octobre, a réalisé une avance de près de
Les 29 et 30 septembre, dans la région d'Urvillers, a capturé près de 300 prisonniers, 12 minenwerfer, dont 6 de gros calibre, 90 mitrailleuses et 5 fusils anti-tank"
Le bataillon DU BOUCHET est cité à l'ordre de l'armée.
Qui est en soutient, se porte aussitôt en avant et occupe l'entonnoir; sa belle conduite lui vaut d'être citée à l'ordre du corps d'armée.
(Bois d’Ailly, juin 1915)
Qui n'a pas perdu un seul homme, est citée à l'ordre du corps d'armée pour sa belle conduite.
(Vienne-le-Château, juillet 1917)
(
Ordre de la
169e division n° 353, du
" Très beau régiment qui, pendant les opérations du 11 au 18 août, sous les ordres du colonel Trestournel, a fait preuve des plus belles qualités d'endurance et d'entrain.
" Aux
combats du 16 août, s'est particulièrement signalé par son mordant, et
sa
bravoure, se lançant sous les feux croisés de mitrailleuses qui
balayaient tout
le terrain des attaques et sous un bombardement violent d'artillerie
l'assaut
d'une position très forte, qui comprenait un village présentant un front
de
défense de plus de
" A
participé à la prise d'un deuxième village, réalisant au cours de ces
combats
une avance totale de
3 citations à l’ordre de l’armée, une au corps d’armée, fourragère verte
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Le maréchal PETAIN,
commandant en chef les Armées de l’est, le citait à l’ordre en ces
termes très
élogieux qui lui valurent la fourragère :
« Ordre N°
15813 « D. » -- Superbe régiment qui, sous les ordres des
lieutenants-colonels BEUVELOT,
blessé à Rozelieures ; RAUCH tué au bois Sabot, et DE GALLE, a donné des
preuves de ses solides qualités guerrières à Rozelieures (
Chargé de
défendre un secteur délicat et important dans le bois de Vaux-Chapitre,
a brisé du 16 au
En
« Ordre N°
15813 « D. » -- Régiment d’élite qui, sous les ordres du colonel De
GALLE, du
lieutenant-colonel CHEPY, tombé glorieusement, et du lieutenant-colonel
DE
HALDAT, a fait preuve en 1918, dans les Flandres, sur l’Ailette et sur
Au Kemmel, du 3 au 16 mai, a enrayé définitivement, au prix, de pertes élevées, la poussée, de l’ennemi plusieurs attaques et contre-attaques couronnées de succès, qui nous ont valu de nombreux prisonniers. Sur l’Ailette et dans la poursuite, a livré pendant quatre-vingts jours des combats souvent opiniâtres, qui ont amené une progression de dix-huit kilomètres, et ont valu la capture de prisonniers nombreux et de matériel considérable. »
le 2e
bataillon du 15e est cité
à l’ordre du D.A.N., du
« Bataillon animé de la plus belle ardeur et du plus magnifique esprit du devoir, rappelé à l’attaque, au moment où il allait être transporté en camion dans une zone de repos, a oublié les fatigues qu’il a endurées pendant un séjour de douze jours dans une zone constamment bombardée, et a brillamment enlevé sous les ordres de son chef de bataillon MACHERET, dans des conditions particulièrement difficiles, une position conquise par l’ennemi, dépassant même l’objectif qui lui avait été assigné. »
En transmettant cette citation, le général DAYDREIN, commandant la 32e D.I., y ajouta son témoignage personnel de satisfaction :
« Les
résultats obtenus par le 2e bataillon
du 15e R.I.,
malgré les plus dures fatigues et les plus violents bombardements,
prouvent
qu’avec la ténacité et une ferme volonté de vaincre, poussées jusqu’à
l’extrême
limite des forces physiques et morales, nos troupes parviendront
toujours à
affirmer leur supériorité sur l’ennemi. »
Le Kemmel, Flandres Belges,
Le régiment avait perdu dans ces deux journées : dix- huit officiers et six cent quatre-vingt treize hommes.
Le 3e bataillon reçut cette citation à l’ordre de l’Armée :
« Le 13
octobre, le bataillon du 15e R.I.
a enlevé dans un élan superbe, sous le commandement du
chef de bataillon BRENAC, le village de Couvron, fortement tenu des
mitrailleuses ennemies ; le
Le
1er bataillon fut cité à l’ordre du 16e
C.A. n°263
du
« Sous l’impulsion énergique de son chef, le commandant SAINT-ARROMAN, s’est porté vaillamment à l’attaque du village fortement organisé d’Aspach. Obligé de progresser sous des feux de mitrailleuses, a fait preuve des plus belles qualités d’offensive et de ténacité ; est parvenu à atteindre en partie ses objectifs, a procédé à des destructions d’organisations ennemies et a ramené des prisonniers ennemis. »
Attaque d’Aspach, Alsace,
La
9e compagnie (capitaine MONGE) soutient
l’attaque
d’un bataillon voisin, enlève brillamment ses objectifs et mérite d’être
citée
à l’ordre de
« Sous les
ordres du capitaine MONGE, après avoir subi pendant huit jours dans le
secteur
du Kemmel un bombardement des plus violents, a été détachée de son
bataillon le
La
6e compagnie fut citée à l’ordre de
n°356 du 28-12-1918 :
« Le
Citation à
l’ordre du régiment n°123 du
Les 6e et 12e compagnies du 15e régiment d’infanterie « sont citées à l’ordre du régiment pour la brillante façon dont elles ont attaqué et maintenu les positions conquises dans le bois Sabot, en même temps que pour l’ordre et la discipline qui ont facilité l’action des chefs et la réussite de l’opération. »
Secteur du Bois Sabot, Champagne, mars 1915
Ordre du régiment
n°126 du
Est citée à
l’ordre du régiment : «La 9e compagnie pour
la
façon brillante dont elle s’est portée à l’attaque d’une tranchée
ennemie sous
un feu des plus violents qui lui a fait perdre deux officiers et
cinquante
hommes. »
Secteur du Bois Sabot, Champagne, mars 1915
Citations de sections à l’ordre du régiment
Le colonel BEVEULOT citait en ces termes à l’ordre du régiment n°91, du 1er septembre 1914, tout le personnel médical :
« Le lieutenant-colonel commandant le R.I. cite à l’ordre du régiment le personnel médical du 15e R.I. : médecins, infirmiers, brancardiers, pour le zèle et le dévouement absolu dont il a fait preuve depuis le commencement de la campagne. Chaque fois que le régiment a été engagé, tous les blessés ont été relevés et pansés, la plupart du temps sous le feu et dans un délai minimum. C’est grâce à cette abnégation constante, que le régiment à la grande consolation de ne pas laisser de blessés aux mains de l’ennemi. En outre le service médical du 15e n’a pas hésité à assurer les soins aux blessés des autres corps, notamment le 25 août à Rozelieures et le 5 septembre au bois de Bareth, donnant ainsi un bel exemple de la solidarité qui doit nous unir tous sur le champ de bataille.
« Il cite particulièrement le brancardier Bonhours, 1ère compagnie, tué en assurant son service, le brancardier Bressoles, 12e compagnie grièvement blessé, le brancardier Gatinel, de la 5e compagnie, blessé également. »
« Signé : BEUVELOT »
(le régiment avait perdu 633 h.)
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
J.O. le
« GLOXIN, Colonel Commandant
le 18e Régiment
d’Infanterie ; 18e Régiment
d’Infanterie : Belle conduite le 8 septembre. Le 18e
Régiment
d’infanterie a enlevé brillamment, par une attaque de nuit, à la
baïonnette, un
village puissamment fortifié. Il a fait de nombreux prisonniers et pris
un
canon. »
(Combat de
Marchaix-en-Brie, Aisne ;
Le 18e, en récompense de sa magnifique
conduite, était cité par le Général Duchêne à
l’ordre
de
« Régiment
d’élite : Chargé d’enlever, les 4 et
(attaque du plateau de Craonne, mai 1917)
Cette deuxième citation confère au 18e la fourragère aux couleurs de la croix de guerre.
Le général Hirschauer devait dire plus tard : « J’ai eu la joie d’accrocher cette fourragère au drapeau du 18e dans les plaines d’Alsace »
Le général
Humbert, commandant
« Régiment d’élite qui, brusquement jeté dans la bataille a, sous l’énergique impulsion de son chef, le colonel Decherf, tenu tête à l’ennemi pendant trois journées consécutives, repoussé trois attaques et exécuté lui-même trois opérations offensives en enlevant à l’adversaire des prisonniers et du matériel. »
(Batalle de Montdidier, fin mars
1918)
Ce brillant
succès vaut au 18e une
quatrième et magnifique citation à l’ordre de
« Sous la
conduite habile et énergique de son chef, le colonel Decherf,
a enlevé de haute lutte, dans la journée du
(Mont des Singes, ouest de Pinon, Aisne ;
Cette dernière citation attribuait au régiment le port de la fourragère aux couleurs de la médaille Militaire.
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Citation à
l'ordre de l'armée n° 382, du
« Chargé, le 17 décembre, de l'attaque sur Ovillers, s'est porté en avant sur un terrain absolument découvert avec un entrain remarquable. En prise à des feux de face, d'écharpe et d'enfilade, a progressé quand même. S'est emparé à la baïonnette d'un blockhaus fortement organisé et des tranchées ennemies en avant du village. S'est maintenu toute la journée sous un feu violent d'infanterie et d'artillerie.
S'était déjà
fait remarquer à Maissin le 22 août, à Chaumont-Saint-Quentin
le 27 août, à Lenharrée les 7 et 8 septembre, à Thiepval et à la cote
141 les 6
et
Citation à
l'ordre de l'armée. – Ordre général n° I, du
« La 22e division d'infanterie, comprenant les
19e, 118e, 62e,
116e régiments d'infanterie, a, le
(Les Mamelles,
Ordre général
n° 71 « F », du
Le général
commandant en chef décide que le 19e
régiment d'infanterie, qui a obtenu deux citations à l'ordre de
l'armée au cours de la campagne pour sa belle conduite devant l'ennemi,
aura
droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de
Au G. Q. G., le décembre 1917.
Le Général commandant en chef,
PÉTAIN.
4ème citation du régiment à l’ordre de l’armée
Citation à
l'ordre de l'armée. – Ordre n° 15163 « D », du G.Q.G. du
« Régiment
d'élite qui, sous les ordres de son chef, le colonel Taylor, a donné, du
25
mars au
Le 30 mars, réduit de plus de moitié par les pertes subies, fortement éprouvé par de dures fatigues, a retrouvé sous le feu toute sa valeur offensive et collaboré aux opérations de la 28e D.I. dans la région d'Orvillers-Sorel.
A tenu ensuite, du 3 au 4 avril, avec sa traditionnelle et légendaire ténacité, sous un bombardement intense, sans faiblir un seul instant, les positions qui lui avaient été confiées. A donné, une fois de plus, au cours de cette période de très durs combats, un bel exemple de l'esprit de sacrifice et des nobles qualités militaires qui l'animent.
Citation à
l'ordre de l'armée. – Ordre général n° 1445 de
« Le
Jeté de
nouveau quatre jours après dans la bataille, s'est emparé de la tête de
pont de
Saint-Pierre- à-Arnes et du système défensif
des
tranchées de Marre, fortement défendues, réalisant ainsi une nouvelle
avance de
Au cours de ces deux périodes de lutte, a capturé plus de 200 prisonniers, une batterie de 150, plusieurs canons de 77 et de nombreuses mitrailleuses. »
Ordre n° 151 «
F » I.G. n° 1176, du
Par
application des prescriptions de la circulaire n° 2156 « D », du
19e REGIMENT D’INFANTERIE.
Cette unité a obtenu quatre citations pour sa brillante conduite au cours de la campagne.
Au Q.G., le
Le Maréchal commandant en chef des armées françaises de l'Est,
PETAIN.
Citation à
l'ordre de l'armée n° 339, du
« Engagé
inopinément dans un secteur où l'adversaire avait remporté d'importants
avantages, le 3e bataillon
du 19e régiment d'infanterie,
sous l'énergique impulsion de son chef, le commandant L 'Helgoualc'h,
est parti en formation de manœuvre à l'assaut d'une position fortement
défendue
et s'étendant sur plus de
Citation à
l'ordre de
« Après s'être
emparé de haute lutte, le
A établi une
tête de pont à
A capturé 30 prisonniers.
Citation à
l'ordre de la brigade n° 12, du
Le 2e bataillon du 19e régiment d'infanterie, commandé par le chef de bataillon Fohanno.
« Sous la
conduite énergique de son chef, s'est porté résolument en avant,
franchissant
les tranchées d'un élan irrésistible, faisant prisonniers 10 officiers
et 200
hommes de troupe (Tahure, le
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
ORDRE N° 10.456 " CD "
Le général commandant en chef cite à l’ordre de l’Armée le 20ème régiment d’infanterie :
" Sous le
commandement du colonel Martinet, blessé au cours de l’action, s’est
emparé, le
Le
Signé PÉTAIN.
(Massif de Moronvillers, Champagne,
avril
1917)
Ses pertes ont été très lourdes : 13 officiers tués, 14 blessés ; 610 hommes blessés et 150 tués.
Deuxième citation à l’ordre de l’Armée N° 626
Le 20e régiment d’infanterie :
Sous les ordres du lieutenant-colonel
Amiot, a, pendant l’offensive du 18 au
Au G. Q. G., le
Le général
Degoutte, commandant
Au cours de la
revue de la 33ème division
d’infanterie massée sur le plateau de Croutoy,
le
Ordre de
l’Armée N° 344, du
Le 20e régiment d’infanterie
Ayant reçu la mission, sous le commandement du lieutenant-colonel Amiot, de forcer le passage d’un canal puis d’une rivière, a montré une fois de plus ses brillantes qualités offensives et son ardeur en triomphant d’un seul élan des obstacles accumulés par l’ennemi. Puis, au cours de durs combats de bois, a refoulé pied à pied l’adversaire pendant six jours, sous les rafales incessantes de très nombreuses mitrailleuses et sous un violent bombardement de tous calibres.
A talonné l’ennemi en retraite, poussant de l’avant sans s inquiéter des progrès des unités voisines et a, le premier, réoccupé les anciennes tranchées françaises devant la ligne Siegfried. A fait de nombreux prisonniers, pris un canon, des engins de tranchée et un grand nombre de mitrailleuses.
Au G.Q.G., le
•Le régiment obtient également la citation suivante à l’ordre du corps d’armée N° 365 P :
Le 20ème régiment d’infanterie a puissamment contribué, au cours de la
journée
du
Au G. Q. G., le
Le général commandant le 31ème corps d’armée, Signé : Toulorge.
(Mont D’Origny, Oise, octobre 1918)
Le 20ème régiment d’infanterie
Sous le
commandement du lieutenant-colonel Amiot a,
pendant
tous les combats sur l’Oise, du
Le général commandant le 31ème corps d’armée,
Signé : Toulorge.
La brillante
conduite du 1er bataillon lui vaut d’être
cité à l’ordre de la 33ème division
d’infanterie, N° 77, du
" Sous le commandement
du commandant Montauriol, a participé les 26
et
Bien que très éprouvé par
les affaires des journées précédentes, a réussi, les 4 et 5 août, non
seulement
à contenir une violente contre-attaque ennemie et à rétablir la
situation un
moment compromise, mais encore à porter sa ligne de plusieurs centaines
de
mètres en avant ".
(Secteur de l’ouvrage de Thiaumont, Verdun ; août 1916)
Le régiment a perdu 7 officiers tués, 17 blessés et 1.100 hommes de troupe, dont 350 tués.
Le 2ème bataillon est cité à l’ordre de la
division N° 254, du
Le
A enlevé
de haute lutte plusieurs lignes de défenses malgré les feux extrêmement
violents de l’artillerie et des mitrailleuses, atteignant tous les
objectifs
qui lui avaient été assignés. A capturé au cours du combat 60
prisonniers, 2
pièces d’artillerie de campagne, 6 canons d’accompagnement et plus de 20
mitrailleuses. A fait preuve pendant les dix journées de combat qui ont
succédé, des plus belles qualités de courage et d’endurance.
(L’Ourcq,
juillet 1918)
Les pertes du régiment pour la période s’élèvent à : 61 tués,
dont 3
officiers, et 507 blessés, dont 15 officiers.
Le
3è bataillon est cité à l’ordre de la
division N°
354, du
Le 3ème bataillon, sous le commandement du
chef de bataillon Nazat, a, le
Toute l’oeuvre du 20ème pendant les mois d’octobre et de novembre 1914 se trouve résumée par la citation que lui décerna le colonel Savatier, commandant la 6ème brigade.
" En modifiant
aujourd’hui les conditions de relève du 2ème
secteur et en
apportant aux fatigues du 20ème un allégement que les circonstances
n’avaient
pas permis d’accorder jusqu’à ce jour, le colonel commandant la 6ème
brigade tient à citer à l’ordre ce régiment pour son héroïque garde des
tranchées de première ligne.
Depuis
le 26 septembre, jour où deux bataillons ont eu la gloire de faire
reculer plus
d’une brigade ennemie et de transformer par leurs feux ajustés sa
retraite en
complète déroute, les 1er et 3ème bataillon
ont occupé
avec un effectif restreint toutes les tranchées 10, 11, 12, 5, 6, 8, et
comme
aucune autre troupe n’était disponible, ils ont demeuré stoïquement
douze jours
sans aucune relève, passent leurs journées à recevoir avec la plus
grande
bravoure des marmites dans les tranchées, les nuits à enterrer les
nombreux
cadavres allemands restés dans nos lignes, à creuser sous le feu ennemi
les
retranchements et à les doubler de fils de fer.
Le 6 octobre, la rentrée du
2ème bataillon
(commandant Allehaut)
dans le secteur permit enfin d’accorder aux défenseurs des deux centres
de
résistance deux jours de repos à LavaI pour
quatre
jours aux tranchées. Mais comme chaque fois la relève dut se faire avant
le
jour, le repos de la deuxième nuit était forcément écourté.
Malgré ces fatigues réelles,
et qu’en bons Français les soldats du 20ème
ont supporté
fièrement, ils surent creuser encore de nuit des kilomètres de tranchées
et de
boyaux ainsi que de nombreux refuges ; puis, quand ils furent solidement
établis sur une ligne, ils n’eurent qu’une préoccupation : refouler le
service
de sûreté ennemi et se rapprocher encore des tranchées allemandes que
leurs
patrouilles reconnaissaient sans cesse avec la plus grande activité. Ils
eurent
ainsi la constance de progresser jusqu’aux bois qui gênaient leur vue,
puis,
d’un bel élan, jusqu’aux bois des Allées (Allées Nazat)
et bois des Allemands (bois Assémat) où ils
se
dressent aujourd’hui à
Le colonel commandant la
brigade félicite le lieutenant-colonel Moltandin
de
commander un si beau régiment et adresse à tous les officiers,
sous-officiers
et hommes qui le composent ses compliments les plus sincères. Il sait
que le
jour où il le demandera, les
Cote 147, le
Le colonel Savatier, commandant la 6ème brigade
Signé : Savatier
" Le colonel commandant
la 6ème brigade cite à
l’ordre le 20ème régiment
d’infanterie. Il adresse un hommage plein d’émotion aux braves
du 1er bataillon, morts dans
le plus bel élan
patriotique, sous la conduite de l’héroïque commandant Hébrard.
Le 2ème bataillon s’est illustré le 23 dans un assaut magnifique qui
arrachait
des cris d’admiration aux chefs qui l’observaient de leur poste de
commandement.
Honneur au commandant Allehaut, à ses braves
officiers, sous-officiers et soldats ".
Signé : Savatier.
(Les
Tranchées Brunes, secteur de Perthes, Champagne ; fin décembre
1914)
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
« Dans les
attaques exécutées le
Le Trou Bricot, Champagne ; septembre 1915
Le 22eRégiment
d’Infanterie, sous les ordres du lieutenant-colonel Engelhard,
a brillamment enlevé, le
Attaque de la vallée de Guerbette,
près de
Laffaux ; octobre 1917
Le 22e
Régiment d'Infanterie a conquis, en Champagne (
Le 22e Régiment d'Infanterie, Régiment d'élite, aussi solide dans la défensive que brillant dans l'offensive, déjà cité deux fois à l'ordre de l'Armée, sous les ordres du lieutenant-colonel Tronyo, après trente heures de marche presque ininterrompue en formation de guerre, est arrivé au contact d'un ennemi qui poursuivait pendant quatre jours une avance sans arrêt. Dans la zone dont la défense lui était attribuée, malgré la violence des contre-attaques ennemies, qui se sont succédé pendant dix jours, pas un pouce de terrain n'a été cédé. Grâce à la vigueur et à la ténacité des éléments en première ligne, ceux en réserve ont pu être engagés avec succès pour faire des contre-attaques et rétablir la situation des corps voisins attaqués.
Combats de
Le Régiment reçoit sa quatrième citation à l'ordre de l'Armée et mérite la fourragère jaune.
Le 22e
Régiment d'Infanterie, Régiment d'élite sous les ordres du
lieutenant-colonel Tronyo, au cours de
l'offensive commencée le
Au travers
d'un terrain couvert de fortifications formidables, hérissé de
mitrailleuses,
et défendu par l'ennemi avec acharnement a, par des assauts successifs,
refoulé
l'ennemi jusqu'à
Ferme des Marquises, Moronvillers, Ste Marie à Py ; Champagne ; octobre 1918
Ce Bataillon occupe la cote 196 et à l'ordre de la tenir coûte que coûte. Débordées à droite et à gauche, abandonnées des Anglais, les troupes du commandant De Lasbordes sont obligées de céder du terrain. Pour sa résistance acharnée, le 2e Bataillon est cité à l'ordre du 5e Corps d'Armée.
Secteur de Ville-en-Tardenois, Chambrechy,
mai 1918
1e compagnie est citée pour sa belle conduite lors de l’attaque de Fay et Dompierre (Somme)
Les 3e et 2e Compagnies, pour leur brillante conduite, sont citées à l'ordre du Régiment.
Attaque de
6 citations à l’ordre de l’armée, fourragère rouge
<< Le 23e RI. sous les ordres du lieutenant-colonel Sohier, chargé d'enlever une position puissamment fortifiée s'est précipité sur les tranchées ennemies à travers des tirs de barrage extrêmement violents de l'artillerie adverse; dans son ardeur a même dépassé les objectifs qui lui étaient fixés; S’est rendu maître en quelques minutes de l'organisation ennemie, faisant plus de 800 prisonniers dont 11 officiers et s'emparant d'un butin considérable dont 6 mitrailleuses, a maintenu tous ses gains, malgré un violent bombardement. >>
Cote 627,
1er mai 1917, Ordre n° 173.
Le général
commandant
« Le
Attaque du Chemin des Dames,
« Régiment
d'attaque de premier ordre, très manœuvrier et où les actions d'éclat
individuelles ne se comptent plus. A, sous l'énergique commandement de
son
chef, le lieutenant-colonel Bienaymé pris une part brillante à l'offencive de juillet
« Régiment
d'un moral élevé, possédant un esprit offensif poussé au,plus
haut degré. Sous le comnandement provisoire
du chef
d'escadron Mascarel, a soutenu, pendant 11
jours, une
lutte opiniâtre et ininterrompue contre les troupes ennemies de
Malgré les pertes sévères et d'énormes difficultés de terrain, a brisé successivement toutes les résistances, faisant preuve d'une énergie et d'un entrain digne des plus grands éloges. Dans un suprême élan, s'est emparé de la dernière position, qualifiée par l'ennemi de Pierre angulaire de la défense. »
Pasly, Cuffies, Le Hangar, secteur de
Soissons ;
septembre 1918
« Le
Roulers, Belgique ; octobre 1918
« Régiment
hors de pair, qui, sous le commandement du lieutenant-colonel Oehmichen,
a fait
preuve, une fois de plus, du 30 octobre au
Sous le feu de
l'ennemi, a franchi avec des moyens de fortune, l'Escaut débordé; a
conquis de
haute lutte des hauteurs énergiquement défendues, ouvrant ainsi le
chemin au
corps voisin et assurant le débouché de sa division, malgré plusieurs
tentatives d'arrêt faites par l'ennemi et sans vouloir attendre la
relève qui
lui était annoncée. Au cours de son avance de
Belgique ; octobre-novembre
1918
Le
1er Bataillon a été cité à l'Ordre de
l'Armée
(Ordre du
“ Sous les ordres du commandant Gardelle, s'est particulièrement distingué, au cours des opérations de fin décembre 1915, en enlevant deux lignes de tranchées ennemies; a capturé 150 prisonniers, 2 mitrailleuses et a résisté victorieusement à toutes les contre-attaques; enfin, a contribué, par une de ses compagnies, à enrayer un retour offensif particulièrement violent et dangereux de l'ennemi. »
L’Hartmannswillerkopf, Alsace, décembre 1915
la 6e compagnie s'est particulièrement distinguée. Elle a combattu avec une énergie remarquable et a mérité une citation à l'ordre de l'Armée (N°10 du 10 février). Motif :
“A fait
preuve, au combat du
A eu la moitié de son effectif hors do combat sur les tranchées ennemies sans làcher pied. “
Le
La
9e compagnie du 23 R I. - Ordre de l'Armée
n° 23,
du
Sous les ordres du capitaine BERBAIN, le 22 juin, s'est maintenue héroïquement sous un feu écrasant d'artillerie qui a duré quatre heures.
Après le bombardement, a repoussé l'attaque d'un ennemi très supérieur en nombre, puis lui a repris un ouvrage avancé dans lequel il avait réussi à pénétrer »
La
10e compagnie était citée à l'ordre de
l'Armée n°
37 du
« Brillamment entrainée par son chef le capitaine ACCOYER, a attaqué avec un élan superbe un ouvrage ennemi et a fait preure d'une grande bravoure et d'une tenacité indomptable, en se maintenant sur un terrain conquis malgré le feu extrêmement violent des milrailleuses et de l'artillerie ennemies”.
Cote 627,
La
11e Compagnie a été citée à l’Ordre de
l’Armée
(Ordre du
« Sous les
ordres du capitaine Chollet, en première
ligne, dans
une position dangereuse et difficile à organiser, a résisté avec un
courage et
un moral admirables, sous des bombardements intenses, à plusieurs
contre-attaques enemies très violentes. »
L’Hartmannswillerkopf, Alsace, décembre 1915
Le premer peloton de la 1ere compagnie du 23 RI, sous les ordres du lieutenant MATHON. -
Ordre de
l'Armée n° 35, du
S'est maintenu héroïquement; pendant quatre heures sous un feu écrasant d’artillerie, ne s’est replié que sur le point d’être entouré de toutes parts, cédant le terrain pied à pied apres avoir perdu plus de la moitié de son effectif et son chef. Est a1lé au-devant de renforts pour repartir à l'attaque.
Ordre du C.A,
n° 155 du
« Malgré un bombardement intense qui lui avait occasionné de grosses pertes, est sorti avec enthousiasme des parallèles de départ, et a mené l'attaque avec une telle vigueur, qu'en une demi-heure, il avait atteint ses objectifs ; arrêté par des feux violents de mitrailleuses, s'est organisé sur le terrain conquis en faisant preuve d'uneténacité remarquable. »
Ravin du Tortillard, bois de Hem,
Ordre du C.
A., n° 155 du
« Malgré un tir de barrage d'une violence inouïe, est sorti de des parallèles de départ avec un élan superbe et a mené l’action avec un entrain admirable. Arreté par les feux croisés de nombreuses mitrailleuses qui lui occasionnaient de grosses pertes n’a pas cèdé un pouce de terrain conquis. S’y est organisé, et s’y est maintenu en faisant preuve du plus grand esprit de sacrifice »
Ravin du Tortillard, bois de Hem,
3e Ordre de
« Malgré un bombardement d'une violence inouïe, malgré les tirs de barrage des mitrailleuses ennemies, n'a pas hésité à se porter presque entièrement en ligne pour permettre au bataillon de se maintenir sur le terrain conquis ; a perdu tous ses officiers et la moitié de ses cadres. »
Ravin du Tortillard, bois de Hem,
Le
Service Médical du 1er Bataillon a été cité
à
l'Ordre de
“A assuré, du 21 au 25 décembre, dans des conditions excessivement difficiles et en subissant de lourdes pertes, la relève et l'évacuation des blessés, avec un dévouement inlassable qui a eu un effet très réconfortant sur la troupe. »
L’Hartmannswillerkopf, Alsace, décembre 1915
Le 1er bataillon, la 2e compagnie, la 3e compagnie, la 9e compagnie, la 1ère section de la 1ère compagnie, sont cités à l'Ordre du Régiment avec le motif :
A la suite des
combats du 9 août, le colonel HEROUARD commandant le Régiment, par
l'ordre du
Régiment n° 1 porte à la connaissance du Régiment la belle conduite du
1ier
bataillon et de la 6e compagnie, qui, étant le
Secteur de Mulhouse, août 1914
Le 1er bataillon, la 2e compagnie, la 3e compagnie, la 9e compagnie, la 1ère section de la 1ère compagnie, sont cités à l'Ordre du Régiment avec le motif :
A la suite des
combats du 9 août, le colonel HEROUARD commandant le Régiment, par
l'ordre du
Régiment n° 1 porte à la connaissance du Régiment la belle conduite du
1ier
bataillon et de la 6e compagnie, qui, étant le
Secteur de Mulhouse, août 1914
La 9e Compagnie a été citée à l'Ordre du Régiment
« A, pendant
les journées des 28, 29,
L’Hartmannswillerkopf, Alsace, décembre 1915
Le 1er bataillon, la 2e compagnie, la 3e compagnie, la 9e compagnie, la 1ère section de la 1ère compagnie, sont cités à l'Ordre du Régiment avec le motif :
A la suite des
combats du 9 août, le colonel HEROUARD commandant le Régiment, par
l'ordre du
Régiment n° 1 porte à la connaissance du Régiment la belle conduite du 1er
bataillon et de la 6e compagnie, qui, étant le
Secteur de Mulhouse, août 1914
La 4e section de la 9e Compagnie a été citée à l'Ordre du Régiment
“ Chargée de
l'organisation d'une position conquise, a victorieusement repoussé six contreattaques ennemies, et, malgré de lourdes
pertes, a
conservé la totalité du terrain conquis. »
L’Hartmannswillerkopf, Alsace, décembre 1915
Les
Musiciens du Régiment ont été cités à l'Ordre du
Régiment
“ Sous les
ordres du chef de musique Négret, ont fait
preuve
d'un dévouement, d'une bravoure, d'une endurance digne de tous les
éloges. Ont
transporté, de jour et de nuit, malgré un surmenage considérable, tous
les
blessés du
L’Hartmannswillerkopf, Alsace, décembre 1915
2 citations à l’ordre de l’armée, 1 au corps d’armée, fourragère verte
1 citation à l’ordre de l’armée
6
citations à l’ordre de l’armée, fourragère rouge
DÉCRET PRÉSIDENTIEL CONFÉRANT AU DRAPEAU DU
26ème R. I.
Paris, le
LE PRÉSIDENT DE
Vu le rapport du Président du Conseil, Ministre
de
Vu le décret organique de
Le Conseil de l'Ordre entendu,
DÉCRÈTE :
ART. i. - Les Drapeaux des Régiments et du
Bataillon désignés
ci-après sont décorés de
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
26ème Régiment d'Infanterie.
« Après avoir défendu le
Grand
Couronné en Août
En Mars et Avril
S'est distingué sur
Dans l'offensive d'Avril
1917, s'est
emparé de BRAYE-en-LAONNOIS, prenant pied
sur le
plateau du CHEMIN des DAMES.
Les 9, 10 et
S'est emparé, le 28 Juin, des
hauteurs
abruptes à l'Est du RU de RETZ.
Dans la période de
l'offensive du 18
Juillet au
Unité de moral splendide,
foyer ardent
des plus belles vertus militaires, le 26ème R. I. a bien mérité de
ORDRE DE L'ARMÉE N°
110, du
Le 20ème C. A., comprenant le
26ème R.
I. et les . . . . .
Pendant les journées des 26
et
Le 28, il a résisté aux
attaques les
plus furieuses, et il a trouvé, dans son ardeur, assez de ressources
pour passer
à son tour à l'offensive, le 29 au matin.
ORDRE
DE L'ARMÉE N° 27, DU
La 22ème Brigade
d'infanterie,
comprenant le 37ème R. I. et provisoirement le 26ème R. I.,
S'engageant à fond avec la
belle
vaillance que tous lui connaissent, a, par son intervention, rétabli une
situation délicate, méritant une fois de plus sa réputation de troupe
brave et
bien commandée.
Pilkem,
Flandres Belges, novembre 1914
ORDRE DE L'ARMÉE N° 550, du
Au cours des opérations sur
l'AISNE,
en Avril 1917, sous le commandement du Lieutenant-colonel SALLES, a
enlevé d'un
premier élan tous ses objectifs, progressant de plus d'un kilomètre,
s'emparant
de 3 canons et d'un important matériel. Pendant six jours de combat
ininterrompus, a conservé ses positions malgré les contre-attaques
violentes et
répétées de l'ennemi, élargissant et organisant le terrain conquis.
ORDRE
DE L'ARMÉE N° 8033
« D », du 23 Août 1915
Sous le brillant et énergique
commandement du Lieutenant-colonel MOREL, a mené, le
Le 26e
remporte un brillant succès le 28 juin en s’emparant des villages de Fosse-en-Haut
et Fosse-en-Bas et du plateau qui domine le Rû Forêt de
Compiègne, juin 1918
ORDRE DE L'ARMÉE N° 342, du
Unité au moral splendide,
foyer ardent
des plus belles vertus militaires.
Sous les
ordres de son Chef, le Lieutenant-colonel MOREL, dont l'âme de soldat a
su
s'identifier à celle de son Régiment, et au point qu'un même souffle
anime le
Chef et la troupe, a, de nouveau, le
Ambleny, juillet 1918
ORDRE DE L'ARMÉE N° 344, du
Le
A gagné en deux heures et
demie
C’est sa 6e citation, lui donnant droit au port de la fourragère rouge.
Aisne, Nouvon-Vingré ; août 1918
ORDRE DE L'ARMÉE N° 76, du
Les 1ère, 2ème, 4ème 5ème et 7ème Compagnies du 26ème R. I.
Se sont lancées, dans un
magnifique
élan, Officiers en tête, à l'attaque des tranchées allemandes garnies de
nombreuses mitrailleuses, ont poussé jusqu'à ces tranchées malgré un feu
terrible et malgré leurs pertes, faisant preuve du plus beau courage et
de la
plus grande énergie.
ORDRE DE L'ARMÉE N° 444, du
Les 10ème et 11ème Compagnies du 26ème R. I.,
Sous le commandement du
Capitaine Adjudant-major KNECHT et des
Commandants de Compagnie :
Lieutenants ASCOLA et DE CERTAIN, chargées de la défense d'un village,
point
d'appui extrêmement important, ont résisté pendant deux jours et deux
nuits à
des attaques acharnées de l'ennemi, contre-attaquant à leur tour et lui
infligeant des pertes sévères ; ont perdu 7 Officiers sur 8.
ORDRE DE L'ARMÉE N° 342, du
La 9ème Compagnie du
26ème R. I., sous le commandement du Lieutenant
EMORÉ,
S'est portée à l'attaque du
ORDRE DE L'ARMÉE N° 346, du
1er
Novembre 1918
La 10ème Compagnie du 26ème R. I.
Sous le commandement du
Lieutenant
POUARD, dans des journées de combat très dur sur un terrain balayé par
les
mitrailleuses ennemies, la 10ème Compagnie du 26ème R. I. a témoigné
d'un
magnifique entrain et d'un bel esprit de sacrifice ; a attaqué et
refoulé un
ennemi opiniâtre, tuant les mitrailleurs sur leurs pièces, prenant un
village
de haute lutte, a repoussé une violente contre-attaque et poursuivi
vigoureusement l'ennemi en retraite, a pris 1 canon, des mitrailleuses
et un
matériel important.
ORDRE DE L'ARMÉE N° 358
Le groupe de
Grenadiers d'Élite de la
9ème Compagnie du 26ème R. I., sous le
commandement du Sous-lieutenant GEORGES,
Au cours de l'attaque du
plateau de
NOUVRON (
2 citations à l’ordre de l’armée, 1 au corps d’armée, 1 à la division, fourragère verte
Le 21 septembre, le 27e est
cité à l’ordre de la 2e armée :
Ordre général n° 402 du
Le 27e Régiment
d'infanterie, attaqué de front et sur ses deux flancs, dont un
complètement
découvert, sous un bombardement d'une violence inouïe par obus à gaz
asphyxiants, et presque entièrement privé de communications et de
ravitaillement, est resté inébranlable sur la position qu’il avait
mission de
garder, et après une lutte de quatre jours, du 1er au
Verdun,
août 1916
Extrait de la note I356 du
G.Q.G. du 1er novembre
1918 :
Le 27e Régiment
d'infanterie sera cité à l’Ordre de
27e RÉGIMENT
D'INFANTERIE,
« Régiment d'élite qui vient
de faire preuve, au cours, des combats des 30 septembre au
« Par ordre N°I 33 « F. »le
droit au port de
Signé : PÉTAIN.
Le
2e Bataillon est
cité
à l’ordre du corps d'armée pour le motif suivant :
« Le
Bois de
Le
1er bataillon,
dont
le sang-froid a contribué à l’échec de l’ennemi est cité à l’ordre du 8e C.A.
:
«
Sous, le commandant, de son chef, le Capitaine PILOT, s'est tait
remarquer, du
10 au
Main de
Massiges, Champagne, juillet 1918
A son tour, la 5e Compagnie se voit récompenser par la citation suivante
à l’ordre du corps d'armée:
« Sons le commandement de son
chef, le Capitaine Thibaut, a exécuté, le 3 juillet, contre l’ennemi sur
ses
gardes depuis : une récente opération, une action offensive profonde. A
réussi,
malgré les difficultés, à prendre à revers un groupe de combat ennemi,
installé
à
Tranchée Laufgraben,
Ville-sur-Tourbe, Marne
« Régiment d'élite, qui, déjà cité à l’ordre de l’Armée pour sa magnifique attitude au feu pendant la poursuite de Septembre et les premiers jours d'Octobre I9I8, a continué, sous l’impulsion de son chef, le lieutenant-colonel Santini, à montrer les mêmes belles vertus militaires d'endurance, de courage, de volonté de vaincre.
Spécialement
pendant la bataille des 25 au 30 octobre, il a largement contribué à
rompre
Ordre n° 767 du 2 décembre
l918 de la l 6e division :
Le
3e Bataillon
du 27e Régiment d'infanterie.
« Bataillon d'élite qui s'est magnifiquement comporté, spécialement les 14, 15 et 16 octobre devant Nizy-le-Comte en réduisant par le combat et la manœuvre de nombreux nids de mitrailleuses, et le 25 octobre en perçant la position Hunding, malgré des pertes très graves, son flanc gauche étant découvert et en pointe. »
La
2e Compagnie
est citée pour ce fait à l’ordre de
« A fait preuve au cours de l’attaque
allemande du
Signé : Général COLLAS
la
7e Compagnie
est
citée en ces termes à l’ordre de la division :
« Sous le commandement de son
chef le Capitaine Trazit, le
Tranchée Laufgraben, Ville-sur-Tourbe, Marne
La
2e compagnie,
déjà
titulaire de deux citations est de nouveau citée à l’ordre de la
division :
« Sous les
ordres de son chef, le Capitaine Renaud, a exécuté le t3juillet 1918, un
coup
demain profond jusqu'à
Ville-sur-Tourbe, Marne
Ordre du Régiment n° 23.l du
27e Régiment
d'Infanterie du
1er Bataillon :
« Bataillon merveilleusement
entraîné, déjà cité à l’ordre, et qui vient encore de faire preuve des
plus belles
qualités au cours des combats de poursuite livrés par le Régiment du 30
septembre au
« Magnifique bataillon déjà cité
à l’ordre et qui vient encore de faire preuve des plus belles qualités
manœuvrières sous les ordres du chef de bataillon Barbier, pendant les
durs
combats livrés par le Régiment du 30 septembre au
La
1ère Compagnie
exécute
encore le 20 juillet sur la cote 150 un hardi coup de main, ramène un
prisonnier et fournit de précieux renseignements sur le mode
d'occupation de
l’ennemi. Elle est citée en ces termes à l’ordre du Régiment:
« Le
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Sous la
direction du lieutenant-colonel Capitant, chef énergique et habile, qui a
fait
preuve des plus belles qualités de commandement, a, du 13 au
Chargé ensuite
de défendre Villers-Franqueux, a repoussé
une très
violente attaque, infligeant à l'ennemi de grosses pertes et lui faisant
une
centaine de prisonniers.
Signé : PÉTAIN.
Régiment qui s'est distingué au cours de la campagne par son endurance sa ténacité et son esprit de sacrifice.
Le
Poussant sa progression au cours de la nuit, s'est, par une manoeuvre audacieuse, emparé d'un point important dont il a capturé la garnison.
A continué, du 11 au 17 août, son avance hardie à travers des lignes ennemies puissamment garnies de mitrailleuses, faisant plus de 200 prisonniers dont 6 officiers, et enlevant à l'ennemi 2 canons de 150 et un grand nombre de mitrailleuses.
Signé : HUMBERT.
Roye-sur-Matz, Canny-sur-Matz, ferme Saint-Hubert, tranchée de
l’Idée,
août 1918
Ordre général
n°
Par ordre n°
Signé : PÉTAIN.
Le 1er bataillon du 28ème régiment d'infanterie.
" Chargé de l'occupation d'un secteur important et ayant, dès le premier jour, perdu son chef de bataillon et une partie de ses cadres, sous le commandement du capitaine Dherse, a montré un haut sentiment du devoir en tenant seize jours, presque sans abris sous de violents bombardements. A repoussé deux attaques en inspirant jusqu'au bout pleine confiance en sa force de résistance (avril 1916). A donné de nouvelles preuves de sa valeur militaire aux affaires du 1er au 4 juin, pendant lesquelles il a arrêté l'ennemi par une contre-attaque et maintenu son front, malgré les pertes élevées."
(Ordre général
n° 2196,
Signé : NIVELLE.
Verdun, bois de
Le Général
commandant
La compagnie de mitrailleuses du 28ème régiment d'infanterie sous le commandement de MM. DANGLARD (Pierre), sous-lieutenant; LAUGIER {Joseph), adjudant-chef.
A progressé pas à pas, le 28 septembre, avec les premières troupes d'attaque, dont elle a réussi à diverses reprises à préparer et à appuyer le mouvement. A contribué ensuite à l'occupation et à la défense du terrain conquis et trouvé encore l'occasion d'être un secours efficace pour les autres unités du régiment.
Signé : D'URBAL.
Le Général commandant le IIIème corps d armée cite à l'ordre du corps d'armée La 2ème section de la 11ème compagnie du 28ème régiment d'infanterie.
Le
Signé : LEBRUN.
La 11ème compagnie, du 28ème régiment d'infanterie.
Sous le
commandement du lieutenant Minart a, le
Signé : POIGNON
Saillant Deimling, secteur dit de Pargan, Chemin des Dames, juillet 1917
Les pertes avaient été énormes : 23 officiers et 831 hommes sur
un
effectif total de 42 officiers et 1.770 hommes à l'entrée en secteur !
Le colonel LE BEURIER, commandant 1'I.D. 6, cite à l'ordre de la brigade La 4ème section de la 3ème compagnie.
Sous les
ordres du sous-lieutenant ESSETTE, dans la nuit du 9 au
Signé : LE BEURIER.
Le lieutenant-colonel DE GOUVELLO, commandant le 28ème régiment d'infanterie, cite à l'ordre du régiment :
L'équipe téléphonique du 28ème régiment d'infanterie.
Pendant la
période d'attaques du 10 août au
Signé : DE GOUVELLO.
2 citations à l’ordre de l’armée, 1 au corps d’armée, fourragère verte
ORDRE GENERAL
N° 111 DE LA 1re ARMEE DU
Très bon
régiment qui, le
Le lendemain,
a poursuivi son offensive, progressant au total de
Lors de
l’offensive allemande du
Signé : Général DEBENEY.
ATTAQUE SUR ASSAINVILLERS, 9 au
ORDRE GENERAL
N° 213 DE LA 1re ARMEE DU
Excellent
régiment qui, depuis le début de la campagne, s’est signalé en toutes
circonstances : en 1914 et 1915, en forêt d’Apremont et
Woëvre ; en
1916, aux Éparges ; en 1917, aux attaques en Champagne du massif de
Moronvillers ; en fin d’avril à août
1918, dans la
région de Montdidier, particulièrement les
Du 8 au 10 septembre, formant avant-garde de la division dans
la région
sud de Saint-Quentin, a réalisé une progression de
Signé : Général DEBENEY.
ORDRE GENERAL N° 140-F
Par
application des prescriptions de la circulaire 2.156/D du
G.Q.G. (N° 23.196 ),le19 décembre1918.
Le Maréchal de France, Commandant en chef les armées françaises de l’Est.
Signé : PETAIN
ORDRE DE LA
1re ARMEE N° 184 DU
Du 22 au 26 avril, soumise à un bombardement très violent,a lutté sans répit, pendant quatre jours repoussant avec un courage et une énergie inlassables les attaques continuelles de l’ennemi, et s’est maintenue avec une ténacité digne d’éloges sur le terrain conquis.
Signé : Général ROQUES.
ATTAQUE DU
BOIS D’AILLY, 22-
ORDRE GENERAL N° 442 DU 35e CORPS D’ARMEE DU 31 AOUT 1918
Très beau régiment pour lequel les durs combats menés en forêt d’Apremont, de septembre 1914 à janvier 1916, puis aux Eparges, de mars à juin 1916, constituent un passé glorieux.
S’était
signalé, le
Pendant les opérations du 11 au 18 août, vient, sous les ordres du colonel Lenfant, de donner une nouvelle preuve de ses belles qualités d’endurance et d’entrain, supportant sans faiblir des bombardements d’une extrême violence, à obus explosifs et toxiques. S’est signalé en particulier le 11août où, formant avant-garde de la division, et refoulant vigoureusement un ennemi qui balayait le terrain de ses feux de mitrailleuses, il a donné l’assaut à un bois très fortement organisé et où les dernières résistances durent être réduites à la grenade.
Signé : Général JACQUOT.
Attaque de BUS (
ORDRE N° 437
DU 35e CORPS D’ARMEE DU
Le
Signé : Général JACQUOT
Région de MONTDIDIER. Opération du19juillet 1918.
ORDRE GENERAL
N° 341 DE LA 169e DIVISION D’INFANTERIE Du
Excellent
bataillon qui, sous les ordres de son chef, le chef de bataillon Stiot, s’était déjà signalé par sa belle conduite
au feu
lors de l’attaque allemande du
Vient de
donner une nouvelle preuve de son entrain, de son endurance et de ses
belles
qualités manouvrières dans la poursuite de l’ennemi, les 8, 9, et 10
septembre, en exécutant une progression de plus de
Signé : GENERAL SEROT ALMERAS.
Combat de SAINT-SIMON-CLASTRES, 8, 9 et
ORDRE GENERAL
N° 374 DE LA 169e DIVISION D’INFANTERIE DU
Très beau
bataillon qui, sous le commandement du capitaine Gey,
le
Engagé en
première ligne du 28 septembre au
Signé : Général SEROT ALMERAS
Combat de
SAINT-SIMON-CLASTRES, 8, 9 et
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
ORDRE DE L'ARMÉE N° 90, 1er
Bureau.
Le Général Commandant
Sous les ordres du
Lieutenant-colonel RONDEAU, aux combats du 30 avril et du
Au Q. G., le
Signé : V. D'URVAL.
ORDRE DE L'ARMÉE N° 294, 1er Bureau.
Le Général
Commandant
A pris part,
le
Le 19 juillet,
venant à peine de quitter les lignes où il avait passé dix jours sous un
bombardement continuel, a engagé, entre
Le
Au Q. G., le
Signé : DUCHÉNE.
GRAND QUARTIER
GÉNÉRAL DES ARMÉES Au G. Q. G., le
Bureau du Personnel. 1er Bureau. ORDRE GÉNÉRAL N° 47 "F" N° 17188
Le Général Commandant en Chef décide que :
Qui a obtenu
deux citations à l'Ordre de l'Armée pour sa brillante conduite devant
l'ennemi,
aura droit au port de
Le Général Commandant en Chef,
Signé : PÉTAIN.
IIe ARMÉE, État-Major. ORDRE
DE L'ARMÉE N° 482, 1er Bureau.
Le Général Commandant
Sous le commandement du Lieutenant-colonel
SAUGET, a opposé, le
Le 12 juin, a profité de la
contre-attaque des troupes voisines, pour se porter en avant
spontanément,
malgré ses pertes et sa fatigue, et a réoccupé et organisé des positions
importantes dont l'ennemi s'était rendu maître.
Au Q. G., le
Signé : HUMBERT.
GRAND QUARTIER GÉNÉRAL, DES
ARMÉES Au G. Q. G., le
Le Général Commandant en
Chef â Monsieur le Général Commandant la 18° Division.
Par décision de ce jour,
j'ai décidé que le 32° Régiment d'Infanterie serait cité â l'Ordre du G.
A. C.
(en remplacement IXe Armée) pour les affaires de juin et juillet 1918,
avec le
motif suivant :
Pendant dix-huit jours de
combats ininterrompus et au prix des plus dures fatigues, a chassé
l'ennemi des
postions fortement tenues, franchi
Le Général Commandant en
Chef,
Signé : PETAIN.
GRAND QUARTIER
GÉNÉRAL DES ARMÉES Au G. Q. G., le
Etat-major ORDRE GÉNÉRAL No 125 "F" N° 24491
Le Général
Commandant en Chef les Armées du Nord et du Nord-Est décide que les
Unités
ci-dessous auront droit au port de
Ce Régiment a
obtenu quatre citations à l'Ordre de l'Armée pour sa brillante conduite
au
cours de
Le Général Commandant en Chef
Signé : PÉTAIN.
ORDRE GÉNÉRAL N° 1360
Le Général Commandant
Sous les ordres du
Commandant PEYRE, chargé d'exécuter, le
Le Général Commandant
Signé : HIRSCHAUER.
Ière ARMÉE Au Q. G. A., le
État Major. N° 1841. ORDRE
GÉNÉRAL No 24
Le Général Commandant la lie
Armée cite à l'Ordre de l'Armée :
Enlevé brillamment par son
chef, le Capitaine TRISTANI, a, le
S'est maintenu, avec une
ténacité admirable, sur le terrain conquis, malgré un violent
bombardement et
des feux de mitrailleuses d'enfilade et de revers.
Le Général Cdt
Signé : DEBENEY.
ORDRE DU 9e CORPS D'ARMÉE N°
211, Le Général Commandant le 9e Corps d'Armée cite à l'Ordre du Corps
d'Armée
:
Grâce à l'abnégation, à la
bravoure et à la splendide énergie de tous, cadres et hommes, grâce aux
superbes dispositions qu'a su prendre son chef, le Commandant HERMENT, a
infligé à l'ennemi, du 4 au
Le Général PENTEL, Cdt le 9e
Corps d'Armée,
Signé : PENTEL.
ORDRE GÉNÉRAL N° 240 DU 9e
CORPS D'ARMÉE
Le Général Commandant le 9e
Corps d'Armée cite à l'Ordre du Corps d'Armée
Sous l'énergique impulsion
de son chef, le Commandant PLERMENT, a enlevé brillamment, le
Au Q. G., le
Le Général NIESSEL, Cdt le
9e Corps d'Armée,
Signé : NIESSEL.
ORDRE GÉNÉRAL N° 1209 DE LA 18e DIVISION
Le Général
Commandant la 18e Division cite à l'Ordre de
qui, en octobre 1914, sous la vigoureuse impulsion du Commandant DETANGER, qui a été blessé à son poste de chef, et grâce à la sage et énergique action du Capitaine RIVIÈRE, a lutté devant Langemarck sans défaillance pendant sept jours et sept nuits en première ligne ; par sa conduite héroïque, a mérité les éloges de son chef sous les ordres duquel il était momentanément placé, et a vaillamment soutenu la réputation des troupes de la 18e Division.
Au Q. G., le
Signé : Général LEFÈVRE.
Zonnebecke, le
Le Général Commandant la 18,
Division félicite par la voie de l'Ordre :
Détaché de la 48e Division,
a combattu sans arrêt pendant quatre jours et quatre uits,
repoussant les violentes attaques des Allemands.
En félicitant le Commandant
POTIER, ainsi que les officiers et soldats de ce bataillon, le Général
Commandant
Signé : Général
LEFÈVRE.
18° DIVISION Au Q. G., le
État-Major. Chancellerie.
ORDRE No 1422
Le Général ANDLAUER,
Commandant la 18e Division d'Infanterie, cite à l'Ordre de
Chargé, le
Le Général ANDLAUER, Cil la
18e D. I.,
Signé : ANDLAUER.
18e DIVISION
Zonnebecke, le
État-Major. Le Général
Commandant la 18e Division félicite par la voie de l'Ordre :
LE 3e BATAILLON DU 32e
RÉGIMENT D'INFANTERIE.
Détaché de la 18e Division,
a combattu sans arrêt pendant quatre jours et quatre nuits, repoussant
les
violentes attaques des Allemands.
En félicitant le Commandant
BERNARDEAU, ainsi que les officiers et soldats de ce bataillon, le
Général
Commandant la 18e Division les donne en exemple aux autres corps de
Signé : Général LEFÉVRE.
ORDRE DE
Le Général ANDLAUER,
Commandant la 18e Division, cite à l'Ordre de
Le
Contre-attaquée violemment
et obligée de céder le terrain conquis, est repartie
vaillamment
à l'attaque le lendemain. A réussi, appuyée par un bataillon voisin, à
reconquérir ses objectifs.
P. C., le
Signé : ANDLAUER.
ORDRE DE LA 18e DIVISION
Le Général Commandant la 18e
Division félicite par la voie de l'Ordre :
et son commandant, le Lieutenant STUREL Jean,
pour le zèle avec lequel a été conduite l'opération ayant pour but de
détruire
les travaux de sape entrepris par les Allemands en avant des communs
d'Hérentage, opération qui a parfaitement réussi.
Le Général Cdt la 18e
Division,
Signé : LEFEVRE.
ORDRE GÉNÉRAL No 889
Le Général ANDLAUER,
Commandant la 18e Division, cite à l'Ordre de la 18e Division
:
Le
Le
Signé : ANDLAUER.
18e DIVISION Au P. C., le
État-Major.
ORDRE GÉNÉRAL Ne 1219
Le Général de Division LEFÉVRE,
Commandant la 18e Division, cite à l'Ordre de
Signé : LEFÉVRE.
18e Division
Au P. C., le
ORDRE GÉNÉRAL No 889
Le Général ANDLAUER, Commandant
la 18e Division, cite à l'Ordre de
Le
Le Général ANDLAUER, Cdt la
18e D. I.,
Signé : ANDLAUER.
18e DIVISION
Au Q. G., le
ORDRE DE
Le Général de
Division cite à l'Ordre de
Le
Le Général Cdt la 18e D. I.,
Signé : LEFÉVRE.
SAPEURS-PIONNIERS ET
BOMBARDIERS 18e DIVISION
Commandement ORDRE GÉNÉRAL
No 74 de l'Infanterie.
Le Colonel QUINTARD,
commandant l'infanterie de la 18e Division, cite à l'Ordre de
Le
Le
Le Colonel QUINTARD, Cdt
l’I. D. 18,
Signé : QUINTARD.
ORDRE DU RÉGIMENT N° 59
Le Lieutenant-colonel RONDEAU,
Commandant le 32e Régiment d'Infanterie, cite à l'Ordre du Régiment :
Le
Régiment d'Infanterie de
prendre d'autres tranchées et d'assurer au Régiment un gros succès sur
l'ennemi.
Le
Signé : RONDEAU.
ORDRE DU RÉGIMENT Ne 59
Le Lieutenant-colonel
RONDEAU, Commandant le 32e Régiment d'infanterie, cite à l'Ordre du
Régiment :
Le 30 avril, se sont
emparées d'une tranchée ennemie, y faisant de nombreux prisonniers,
prenant
deux mitrailleuses qui ont été immédiatement retournées.
Le
Signé : RONDEAU.
ORDRE DU RÉGIMENT N° 59
Le Lieutenant-colonel
RONDEAU, Commandant le 32e Régiment d'Infanterie, cite à l'Ordre du
Régiment :
Le
La 5e Compagnie a continué le
mouvement sur plus de deux cents mètres et, suivie par la 6° Compagnie, a
résisté à toutes les attaques de l'ennemi.
Le
Signé : RONDEAU.
ORDRE DU RÉGIMENT Ne 59
Le Lieutenant-colonel
RONDEAU, Commandant le 32e Régiment d'infanterie, cite à l'Ordre du
Régiment :
DE MITRAILLEUSES
Le 30 avril, se sont nemparées
d'une tranchée ennemie, y faisant de nombreux
prisonniers, prenant deux mitrailleuses qui ont été immédiatement
retournées.
Le
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Extrait de la
décision du général commandant en chef, en date du
Après avoir
fait preuve, à VERDUN, dans
Extrait de
l'ordre de la 10e armée,
du
Régiment
d'élite, dont les éléments, sous le commandement du lieutenant-colonel WENDLING, ont rivalisé, du 31 mai au
Par ordre n°
Extrait de l'ordre n° 117 de la 5e armée, du 1er novembre 1915.
La 11e compagnie
Alors qu'une mine venait d'exploser à l'improviste et en pleine nuit sous la tranchée de 1re ligne qu'elle occupait, exposée à un violent bombardement et à une fusillade très nourrie, a immédiatement occupé les entonnoirs sous le commandement énergique de son chef, le capitaine BOCQUET, qui a su prendre, les mesures les plusrapides et les plus judicieuses. Coupée momentanément du reste de son bataillon par un bombardement intense, a reconstitué rapidement et avec des moyens de fortune une ligne de résistance et a fait dire tout simplement à l'arrière. : « Tout va bien. »
Sous le
commandement du sous-lieutenant MONTAUFIER, agissant étroitement en
liaison avec une autre
compagnie, a enlevé de haute lutte, malgré une résistance acharnée de
l'ennemi,
sans préparation d'artillerie,
Sous le commandement du capitaine
DEMIAUTTE, agissant étroitement en
liaison avec
une autre compagnie, a enlevé de haute lutte, malgré une résistance
acharnée de
l'ennemi, sans préparation d'artillerie,
CITATIONS A L'ORDRE
DE
Extrait de
l'ordre de la 2e D.I.,
n° 48, du
S'est porté crânement à l'attaque d'une position très forte, malgré de grosses pertes; lancé de nouveau à l'attaque, est reparti avec le même entrain et est resté pendant toute la journée sous un bombardement et des feux d'infanterie très meurtriers, sans qu'un homme ait quitté son poste, donnant le plus bel exemple collectif de bravoure et de force morale, alors qu'il n'avait plus debout que deux officiers et quelques sous-officiers.
S'est porté crânement à l'attaque d'une position très forte, malgré de grosses pertes; lancé de nouveau à l'attaque, est reparti avec le même entrain, sous un feu particulièrement meurtrier, donnant un bel exemple de courage réfléchi
Extrait de
l’ordre de la 51e D.I.
n°405, du
Sous les
ordres du sergent ROUSSEL n'a cessé, malgré un bombardement des plus
violents,
d'assurer la continuité des communications radiotélégraphiques, réparant
son
antenne brisée à plusieurs reprises par les obus; se déplaçant sous les
tirs de
barage, ne cessant de passer des messages
jusqu'au
moment où l'ennemi fut à
Extrait de
l'ordre de l'I.D. / 2, n° 116, du
Dans les journées des 10 et 11 novembre, le peloton des pionniers du 33e sous le commandement du lieutenant DUSSART, s'est dépensé avec un zèle et un dévouement inlassables pour rétablir les ponts que les Allemands faisaient sauter pendant leur retraite. A assuré ce travail sous le feu des mitrailleuses, contribuant ainsi à la progression de l'infanterie et permettant à l'artillerie de suivre l'avant-garde.
Extrait de
l'ordre du régiment, n° 35, du
Le peloton de pionniers,
qui, dans les
travaux d'organisation défensive du secteur de
Extrait
de l'ordre du régiment, n°188, du
Le corps des brancardiers du 33e.
Les brancardiers ont fait preuve de courage et d'un bel exemple d'abnégation en ramenant les blessés sous n violent bombardement et sous les gaz dans des conditions extrêmement difficiles. Plusieurs d'entre eux ont été intoxiqués ou renversés par des éclatements. Le personnel du poste de secours central a fait preuve d'un dévouement de tous les instants, ne prenant aucun repos pendant plusieurs jours pour donner ses soins aux blessés et faciliter l'évacuation.
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
4
citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
Ordre N° 477
du
Le 35° régiment d'infanterie
Sous le commandement du colonel Tesson, le 35e RI s'est porté avec un élan magnifique à l'attaque de la première position allemande comprenant plusieurs lignes de tranchées qu'il a enlevées de la façon la plus brillante. Malgré des pertes élevées, a poursuivi son offensive et a pénétré la deuxième position allemande devant laquelle son chef est tombé mortellement frappé.
S'est maintenu sur le terrain conquis malgré un feu des plus violents et des contre-attaques acharnées.
Ordre N° 173 du 1er mai 1917, le général commandant la 5e armée cite :
Le 35° régiment d'infanterie
Superbe
régiment qui depuis le début de la campagne a toujours été des combats
les plus
durs, en Champagne, à Verdun, sur
Ordre N° 419
du
Le 35° régiment d'infanterie
Régiment au
passé glorieux, titulaire de la fourragère, vient d'acquérir de nouveaux
titres
de gloire. Par sa défense opiniâtre dans le secteur de Dikbusch
où en mai 1918, brisant l'attaque allemande et bien que débordé sur ses
flancs,
il a par des contre-attaques incessantes, maintenu énergiquement toutes
ses
positions et aidé les unités voisines à récupérer leurs tranchées. Par
ses
attaques répétées, poursuivies avec une ténacité et une vigueur
au-dessus de
tout éloge, pendant plus de quinze jours, dans les bois de
A donné ainsi des preuves éclatantes de son inébranlable volonté de vaincre et de son splendide esprit offensif.
Ordre N° 1476
du
Le 35° régiment d'infanterie
Toujours
fidèle à ses glorieuses traditions, a pu les 26, 27 et
Ordre général
N° 59 du
Les
1er et 2e bataillons du 35° RI
Les 1er et 2e bataillons du 35° RI entrainés par un chef plein d'allant, le lieutenant-colonel Delaperche, glorieusement tombé sur la première ligne, ont exécuté au pas de course, une contre-attaque énergique qui a bousculé une attaque allemande et lui a infligé des pertes sensibles en la rejetant sous le feu de notre 75
3 citations à l’ordre de l’armée, 1 au corps d’armée, fourragère verte
Le 21 octobre,
le général d’Urbal épingla au Drapeau
« Magnifique Régiment pour lequel
tout nouvel engagement est l’occasion de nouveaux succès et de faits
d’armes
glorieux.
Déjà
félicité par le Général Commandant
Q.G., le
Signé : V. d’URBAL.
Artois ;
Neuville-Saint-Vaast
septembre 1915
ORDRE GENERAL N° 484 DE
« Le 9 juillet, sous le
commandement du Lieutenant-colonel FERRARD, s’est porté d’un magnifique
élan à
l’attaque ; a brisé de haute lutte la résistance ennemie dans un point
d’appui
énergiquement défendu. Arrêté dans sa progression par un nid de
résistance
puissamment organisé, s’en est emparé en fin de journée au cours d’une
deuxième
attaque faisant subir à l’ennemi de lourdes pertes et ramenant plus de
200
prisonniers dont 6 officiers, 22
mitrailleuses et 4 minenwerfer. »
Signé : HUMBERT.
Ferme des Loges, Antheuil,
ORDRE GENERAL N° 591 DE
« Régiment d’élite animé de
la volonté inébranlable de vaincre, vient de s’illustrer à nouveau
pendant les
combats incessants du 10 août au 10 septembre. Sous l’impulsion
énergique du
lieutenant-Colonel FERRARD, après avoir poursuivi l’ennemi sans trêve du
10 au
Signé : HUMBERT.
Le bataillon Ménager exécute un coup de main qui nous vaut, presque sans pertes, 20 prisonniers, et mérite à ce bataillon la citation suivante :
« A effectué très
brillamment, le
Cerny,
Le Général Commandant le 3e C.A. porte à la connaissance des troupes du C.A. la belle conduite du 36e Régiment d’Infanterie pendant les journées des 13, 14, 15, 16 et 17 septembre.
Attaqués par des forces supérieures, 2 bataillons de ce Régiment se sont maintenus pendant ces journées dans les bois de Soulens et aux Cavaliers de Courcy malgré des feux d’artillerie et d’infanterie très violents. Ces deux bataillons ne se sont repliés que par ordre, bien qu’ils aient perdu la moitié de leurs effectifs.
Le Général est heureux d’exprimer toute sa satisfaction à ces deux bataillons et il adresse ses félicitations personnelles au vaillant chef qui les commande.
Le Général Cdt. Le 3e C.A.
Signé : HACHE.
Nord de Reims, septembre 1914
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
“ Le 20e C.A., comprenant le
37e R.I. Pendant les journées des 26 et
Somme ; septembre 1914
Les 26e et 37e
RI ont continué à progresser, faisant l’admiration de tous ». Une
citation à
l’ordre de l’armée récompense bientôt la valeur de ces magnifiques
régiments.
Le général commandant
“ S’engageant à fond avec la
belle vaillance que tous lui connais sent, a par son intervention
rétabli une
situation délicate, méritant une fois de plus sa réputation de troupe
brave et
bien commandée ”
Pilkem, Flandres Belges, novembre 1914
“ Sur la brèche du 1er
janvier au
“ Sous l’énergique commandement
de son chef, le commandant LIONNE, et malgré les bombardements les plus
violents, a organisé et défendu une série d’ouvrages dont les garnisons
ont été
détruites à plusieurs reprises. Pendant deux jours (9 et 10 avril) a
repoussé
toutes les attaques et, malgré les plus grosses pertes. s’est
maintenu dans le dernier ouvrage totalement bouleversé, en luttant
jusqu’à la
dernière extrémité. ”
Verdun, cote 304, avril 1916
Le
3e bataillon, qui
s’était si brillamment distingué à l’attaque du cimetière, était cité à
l’ordre
de la 11e division.
Artois, attaque du cimetière de Neuville-Saint-Vaast ;
“ Tant au cours des
opérations offensives qui ont permit d’entreprendre la poursuite de fin
octobre
début de novembre 1918, qu’au cours de cette poursuite, a sous
l’énergique
impulsion de son chef, le capitaine FREDERIC, combattu et marché avec
une
ardeur, une rapidité, une endurance audessus
de tout
éloge. ”
Les
2e, 4e, 7e, 8e, 10e, 11e compagnies et
le premier peloton de la 9e compagnie méritent à l’ordre de la 11e
division, la citation suivante
“ Sous un violent bombardement
de l’ennemi, se sont portées à l’assaut des positions allemandes avec un
élan
remarquable. Se sont emparées d’une tranchée et d’un poste allemand en
faisant
des prisonniers et, pendant trois jours, malgré la disparition de
presque tous
les officiers, se sont maintenues sur la position. ”
Artois, attaque du cimetière de Neuville-Saint-Vaast ;
Le 25 septembre,
vigoureusement entraînées par leurs chefs, le lieutenant RANDOLPHE et le
capitaine COURRIER, se sont élancées à l’assaut dans un élan superbe et
ont
dépassé les premières positions ennemies. Leurs cadres étant tombés, se
sont
accrochées au terrain et n’ont pu être renforcées qu’à la nuit
Butte du
Mesnil, Champagne ; septembre 1915
“ S’est élancée à l’attaque
d’un labyrinthe d’où tiraient de nombreuses mitrailleuses et protégé par
un
épais réseau de fil de fer
S’est emparée de la position après avoir fait prisonniers 2 officiers, 40 soldats, et pris 4 mitrailleuses. A gardé le terrain conquis malgré plusieurs contre-attaques à la grenade.
Ouvrage du
Grouin, Courcy, Marne mai 1918
“ La 1re compagnie, sous l’énergique commandement de son chef, le
sous-lieutenant BILLOT, s’est particulièrement distinguée par son
mordant au
cours de la poursuite du 6 au
2e
pièce des 3e et 4e sections de la compagnie de
mitrailleuses
de la 22e brigade d’infanterie (qui devait devenir
Sous un bombardement violent avec emploi de gaz suffocants, est restée à son poste sans défaillance; l’ennemi ayant pénétré dans la tranchée, l’a repoussé à coups de mitrailleuses et de carabine et a réussi par son courage et son sang-froid à enrayer l’attaque en infligeant à l’ennemi des pertes sensibles
Butte du Mesnil, Champagne ; septembre 1915
La
12e compagnie, qui,
ayant perdu deux officiers, plus de la moitié de son effectif, résiste,
isolée
pendant plus de Vingt-quatre heures, sur le terrain conquis et le
conserve
définitivement
Butte du
Mesnil, Champagne ; septembre 1915
S’est élancée à l’attaque
sous l’énergique commandement du capitaine ESCALLE, d’un seul bond,
fanion
déployé, sans s’arrêter, donnant à tous le
plus bel
exemple d’abnégation et d’héroïsme. A perdu la moitié de son effectif,
son
capitaine, son lieutenant et a eu un troisième officier blessé.
Compagnie déjà deux fois
citée
Butte du
Mesnil, Champagne ; septembre 1915
S’est élancée avec un bel entrain
à l’attaque d’un saillant protégé par un réseau épais de fil de fer et
défendu
par de nombreuses mitrailleuses. A fait une quarantaine de prisonniers
et
enlevé une mitrailleuse.
Ouvrage du
Grouin, Courcy, Marne mai 1918
Sous le commandement du
capitaine FUZELIER, s’est brillamment élancée à l’attaque; ayant perdu
deux
officiers et plus de la moitié de son effectif, a résisté, isolée,
pendant plus
de vingt-quatre eures sur le terrain conquis
et l’a
définitivement conservé.
Butte du
Mesnil, Champagne ; septembre 1915
“ A participé à toutes les
attaques depuis le début de la campagne. S’est signalée notamment en
Lorraine
où son intervention a contribué à enrayer une attaque allemande, et dans
En avril 1916, après avoir
été soumise à un feu écrasant d’artillerie, a continué le service de ses
pièces
encore utilisables, sans abri, sur le parapet, pour enrayer une attaque
allemande.
Verdun,
cote 304, avril 1916
“ Composée de mitrailleurs
braves et disciplinés, a, sous le commandement du capitaine NAEGUEÉ,
donné la
mesure de sa valeur en Champagne en maintenant ses pièces en position
malgré
plusieurs explosions de mines et en avril 1916 en résistant sur une
position
soumise à un feu écrasant d’artillerie lourde en contribuant, par ses
feux, à
contenir les attaques allemandes. ”
Peloton
de
pionniers.
Sous la direction énergique et éclairée du sous-lieutenant LEMASSON, a contribué par un travail opiniâtre et malgré le danger permanent à la préparation de l’attaque. Le 25 septembre, a suivi de près les premières vagues et a su, en s’accrochant au terrain, fournir aux unités les moyens de conserver intégralement tout le terrain conquis.
Butte du
Mesnil, Champagne ; septembre 1915
“ Sous le commandement aussi
avisé qu’audacieux de son chef, le lieutenant VERIN, a donné à plein
collier au
cours de la poursuite, assurant aux éléments d’avant-garde le passage
sur
franchissement de l’Oise, octobre 1918
“ S’est offerte spontanément
pour charger contre l’ennemi retranché derrière un mur, sous un feu
violent de
mitrailleuses et bombes et ne s’est arrêtée que par un ordre supérieur
après
avoir eu une grande partie de son effectif mis hors de combat. ”
Verdun, cote 304, avril 1916
3 citations à l’ordre de l’armée, 1 au corps d’armée, 1 à la division, fourragère verte
3 citations à l’ordre de l’armée, 1 citation à l’ordre de la division, fourragère verte
Le 39e est cité à l'Ordre de la 10e Armée,
le
« Régiment dont la solidité s'est affirmée dès le début » de la campagne, en août et septembre 1914, puis en Artois, en juin, septembre et octobre 1915. En juin 1916, sous les ordres du Colonel Gibon-Guilhem, devant Verdun, sous un bombardement d'une violence extrême, accompagné d'émission de gaz et malgré des pertes sévères, s'est accroché au plateau de Fleury, a contenu pendant trois jours les furieuses attaques de l'ennemi, sans perdre un pouce de terrain.
S'est à nouveau signalé en octobre 1916 sur le mê me terrain de lutte par son acharnement au travail et sa belle tenue au feu. »
Signé : DUCHÊNE.
16 Juillet : Le 39e est cité à l'ordre de l'Armée en ces termes :
« Excellent
régiment qui, sous les ordres du Colonel Gibon-Guilhem,
vient, une fois de plus, de se montrer digne de sa belle réputation. A,
pendant
de durs combats, du 9 au
En
particulier, avec deux seules Compagnies d'infanterie et une Compagnie
de
mitrailleuses, a capturé, le
(Signé) : HUMBERT.
Prise de Fretoy et du
Tronquoy ; Somme
- 24 Octobre : Le 39e est cité à l'Ordre de la 1re Armée en ces termes :
« Corps
d'élite, de superbe tenue au feu, qui, pendant la période du 5 au
(Signé) : DEBENEY.
Faverolles, bois Allongé, Cessier
Pour la prise de Neuville-Saint-Vaast en juin 1915
Général Mangin
Pas de citations du régiment
Ordre du Régiment N° 84
Citation à l’ordre de
l’Armée. (J.O. du
La
10ème
Cie du 40ème R.I. chargée d’enlever le
Ordre du Régiment N° 70
A fait preuve d’une grande
bravoure et d’une ténacité exemplaire en se portant par trois fois dans
la nuit
du 17 au
Chattancourt,
le
Ordre du Régiment N° 70
A fait preuve le
Chattancourt,
le
Citation à l’Ordre du Régiment N° 77
Mise à la disposition du
commandant du 3ème Btn, s’est
lancée pendant la nuit du 17 au
Ordre du Régiment N° 541
La
1er Cie
commandée par le capitaine AUBOUT
A fait preuve, le
Ordre du
Régiment N° 541
La
11ème Cie
commandée par
le lieutenant COSTE.
S’est affirmée troupe
d’élite pendant les dures journées du 25 au
Ordre du
Régiment N° 70
3e section de la 1re Cie du 40ème R.I.
A fait preuve le
Chattancourt, le
Citation à
l’Ordre du Régiment N° 77
Le
2 citations à l’ordre de l’armée, 1 au corps de cavalerie, 1 à la division, fourragère verte
S'est comporté très
brillamment depuis le début de la campagne, notamment aux combats de
Craonne et
de Neuville-Vitasse, où il a perdu les deux tiers de son effectif et la
plus
grande partie de ses officiers ".
Dans ces six
jours de lutte ininterrompue, le 41ème
a perdu 2.000 hommes environ ; il ne lui reste que 15
officiers.
Combats de Craonne (Aisne) et de
Neuville-Vitasse (Artois),
septembre et octobre 1914
A la suite des combats de Vierzy, le 41ème est cité à l’ordre de l’armée :
" Débarqué le
Le 41ème a perdu 2.500 hommes environ dans le secteur de
Vierzy, ferme de Vertefeuille,moulin de
Villers-Hélon
Le général commandant le 1er corps de cavalerie cite à l’ordre du corps de cavalerie le 41ème régiment d’infanterie :
" Amené précipitamment
dans la bataille, a, sous le commandement du chef de bataillon Jouannean d’abord, puis du colonel Martinet,
réussi pendant
quatre jours de combats consécutifs, les 17, 18 19 et
bois de Boursault, Oeuilly, Cense-Carrée
La 6ème compagnie, qui s’était presque entièrement sacrifiée, est citée à l’ordre du corps d’armée :
" La 6ème compagnie, entraînée par son capitaine et tous ses gradés, a,
dans un
admirable élan, enlevé une ligne de tranchée allemande et attaqué
aussitôt la
deuxième ligne ; N’a succombé sous les contre-attaques qu’après avoir
lutté
plusieurs heures, perdu tous ses officiers et plus de la moitié de son
effectif
".
On compte 24 officiers et 460 hommes hors de combat.
Tranchée de Toucouleur, secteur de Bailleul-Sir-Berthoult,
Artois, juin
1915
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
3 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Ordre n°
37.343 du G.Q.G. du
« Sous l’impulsion énergique et personnelle de son chef, le Général Rauscher
la 1ère Brigade d’Infanterie
comprenant le 43ème R.I. sous le commandement
du Lieutenant-colonel Lapointe, et le 127ème R.I. sous le commandement du
Lieutenant-colonel Pravaz, après avoir soutenu pendant 12 jours un
bombardement
incessant sur un terrain presque sans abri, a, le
Route de Combles à Le Forest, Somme, septembre 1916
« Excellent
régiment qui s’est brillamment comporté à Verdun, sur
Flandres, canal de l’Yser, septembre, octobre 1917
« Régiment
d’élite d’une solidité à toute épreuve et d’une opiniâtreté offensive
exceptionnelle. Sous l’énergique et stoïque exemple du robuste soldat
qu’est
son chef, le Lieutenant-colonel Carrot, a
largement
contribué à briser la ruée allemande sur l’Aisne de mai à juin derniers.
Dans
les offensives récentes, sous le commandement provisoire du Commandant Péron, s’est magnifiquement comporté pour les
rudes
besognes qui lui ont été confiées, a pris deux villages, 5 canons, et
fait plus
de 400 prisonniers. »
Aisne, secteur de Vailly
Le 26
septembre à
Nous pénétrons
à notre tour dans la position allemande et nous ramenons 6 prisonniers :
Cette
heureuse opération fait obtenir à la 10ème Compagnie
qui en était chargée, une citation à l’Ordre de
Aisne, entre Ville-aux-Bois et Juvincourt, janvier 1918
4 citations à l’ordre de l’armée, 1 citation à l’ordre de la brigade fourragère jaune
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
1 citation à l’ordre de l’armée
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Les affaires
des 9 septembre, 2 et
Verdun, cote 344
Cité à l'ordre
de l'Armée pour sa belle conduite du 15 juillet au
Bataille du Tardenois
LA 6E compagnie à l'ordre de l'Armée
Combats des Monts de Champagne, mai 1917
Le Régiment est cité à l'ordre du corps d'armée
Combats des Monts de Champagne, mai 1917
Le
Artois, secteur d’Arras
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Au cours des
opérations qui se sont déroulées du 10 mai au
Le Général commandant en chef,
PÉTAIN.
La citation du
48e à
l'Ordre de
« Au cours des
opérations qui se sont déroulées du 10 mai au
le 29 octobre à Rethondes près de
Breuil,
localité qui devait être quelques jours plus tard le point de
débarquement des
plénipotentia1res allemands venus pour signer l'armistice, le général
Fayolle,
commandant le G.A.R., attachait à la hampe du drapeau et à l'épaule du
chef de
corps, le lieutenant-colonel Imbert, la
fourragère
aux couleurs de
Une citation à l'Ordre de l'Armée fut décernée à la 8e compagnie et à la section de bombardiers pour leur brillante conduite du 6 avril.
La 8e compagnie, avec la section de bombardiers, attaqua avec une vigueur remarquable, enleva un poste solide, et s'accrocha à la lisière du bois et au boyau de l'ouvrage des Rieux, d'où les contre-attaques violentes de l'ennemi ne purent la déloger, malgré les fortes pertes qu'elle avait éprouvées.
Verdun,
réduit du bois d’Avocourt, avril 1916
La vigueur et la rapidité de ce coup de main ont été telles que la 11e compagnie, toute entière, rentra dans nos lignes, sans perdre un seul homme et avec trois blessés légers seulement.
Une citation à l'Ordre de l'Armée récompense cet exploit.
Verdun, Le
Mort-Homme, juillet 1916
La 1ère Section de
Ravin de
Une citation à
l'Ordre de l'Armée fut décernée à la 8e compagnie et à
La 8e compagnie, avec la section de bombardiers, attaqua avec une vigueur remarquable, enleva un poste solide, et s'accrocha à la lisière du bois et au boyau de l'ouvrage des Rieux, d'où les contre-attaques violentes de l'ennemi ne purent la déloger, malgré les fortes pertes qu'elle avait éprouvées.
Verdun,
réduit du bois d’Avocourt, avril 1916
Le 18 août, nouvelle attaque vigoureusement menée par la 7e compagnie ; elle atteint l'abri bétonné 118, y capture, avec l'aide d'une patrouille de la 5e compagnie, 27 Allemands et 2 mitrailleuses, s'établit et se maintient au delà de l'abri.
Une citation à
l'Ordre de
Verdun, Le Mort-Homme, juillet 1916
La 7e Compagnie du 48e Régiment d'infanterie, sous le commandement du lieutenant ABRIBAT.
A brillamment emporté d'assaut un solide et important point
d'appui
ennemi, le
Verdun,
août 1916
La 8e Compagnie du 48e Régiment d'infanterie, sous le commandement du lieutenant MÉNARD.
A l'attaque du
Verdun, août 1916
La 9e Compagnie du 48e Régiment d'infanterie, sous le commandement du capitaine DILASSER et du sous-lieutenant MONTAUSIER.
Le 28 août, après un long séjour dans un secteur très rude, malgré les intempéries, les pertes par le feu, les privations de toutes sortes, s'est bravement lancée à l'assaut avec un entrain et une vigueur qui ont fait l'admiration de tous. A atteint son objectif en partie, subissant des pertes sensibles et voyant son capitaine glorieusement tomber à sa tête.
Verdun, août 1916
La 10e Compagnie du 48e Régiment d'infanterie, sous le commandement du capitaine COCHOIS.
A l'attaque du
Verdun, août 1916
La 11e Compagnie du 48e Régiment d'infanterie, sous le commandement du lieutenant COPEN.
Sous les ordres du lieutenant COPEN, a exécuté un coup de main avec un entrain, une telle bravoure et une telle précision qu'en quelques minutes les tranchées ont été atteintes et nettoyées, l'ennemi laissant sur le terrain une cinquantaine de morts et entre nos mains 23 prisonniers et 2 mitrailleuses.
Verdun,
août 1916
La 11e Compagnie du 48e Régiment d'infanterie.
Soumise à un violent
bombardement de deux jours par torpilles et obus de gros calibre et à
une
vigoureuse attaque d'infanterie ennemie le
Est d’ Aubérive, Champagne, novembre 1916
Partie en tête d'une colonne, est parvenue d'un premier élan jusqu'à la deuxième tranchée allemande. Accablée par un ennemi très supérieur en nombre, a lutté dans un violent corps à corps, perdant la moitié de son effectif, mais restant maîtresse quand mêmed'une partie du terrain conquis.
Verdun, août 1916
4 citations à l’ordre de l’armée, fourragère jaune
2 citations à l’ordre de l’armée, fourragère verte
Le régiment n’obtient qu’une citation à l’ordre du Corps d’Armée, avec le motif suivant :
Cette citation sera ultérieurement transformée en une citation à l’ordre de l’armée par le Maréchal Pétain qui a pu apprécier lui-même le mérite de l’opération exécutée.
« Le
Maisons-de-Champagne,
mars 1917
La citation à
l’ordre du XII° C.A. qui lui a été accordée pour l’affaire de Maisons de
Champagne devient une citation à l’ordre de l’Armée, par ordre du
Maréchal de
France commandant en chef, en date du
Régiment au passé glorieux qui, depuis le début de la guerre, a
montré
la plus belle ardeur combative, en Régiment au passé glorieux qui,
depuis le
début de la guerre, a montré la plus belle ardeur combative, en Belgique
(août
1914), à la bataille de
(Ordre du
Enfin, par
précision en date du
Le Général commandant la 10° Armée cite à l’ordre de l’Armée :
La 1ère COMPAGNIE,
commandée par le lieutenant Bilière :
« Faisant partie d’un groupe
chargé d’enlever, la nuit du 15 septembre, la deuxième ligne allemande,
s’est
portée à l’assaut avec un ordre et un entrain remarquables. S’est
emparée d’un
élément de tranchée, a progressé ensuite à la grenade jusqu’à
l’occupation
totale de la position. A fait prisonniers 2 officiers et 24 hommes et
pris une
mitrailleuse. Le lendemain, a repoussé une contre-attaque et participé à
deux
nouvelles attaques. »
Signé : D’URBAL
Cependant le
bombardement reste très
violent toute la journée du 15 et la nuit du 15 au 16. Il
y a des pertes
non seulement au 1er bataillon
qui est en première ligne mais aussi au 2°
bataillon qui
monte
le 15 à
Le 1er bataillon
a été cité à l’ordre du XII° C.A. pour sa belle
résistance.
Italie,
avril 1917
Ordre du Corps
d’Armée N° 378 Du
1er juillet 1918
Le Général Graziani, commandant le 12° C.A. et les forces Françaises en Italie, cite à l’Ordre du Corps d’Armée :
LE 1er BATAILLON DU 50° REGIMENT D’INFANTERIE ,
« Sous les ordres du
commandant Happe, a fait preuve d’une solidité et d’une ténacité
inébranlable
en brisant dans la journée du
A conservé intégralement le
terrain confié à sa garde sans épuiser ses réserves propres, permettant
ainsi
au Lieutenant-Colonel commandant le
sous-secteur
d’employer toute sa réserve dans un quartier plus menacé. »
Q.G. le 1er juillet 1918 Signé : GRAZIANI
Ordre du Corps
d’Armée N° 291 Du
Le Général commandant le 12° C.A. cite à l’ordre du Corps d’Armée les Officiers et hommes de troupe dont les noms suivent :
La 4° section de la 9° Compagnie commandée par le lieutenant Faye :
« A, sous le commandement de
son chef le lieutenant Faye, accompli brillamment sa mission : après
être
montée a l’assaut en tête de
A un deuxième assaut ordonné le soir, alors qu’il ne restait plus que dix huit hommes, cette section s’est portée en avant avec son chef jusqu’à proximité des lignes ennemies devant lesquelles elle a tenu trente-six heures. »
Au Q.G. le
Signé : DESCOING
Ordre de
Le Colonel
LAGRUE, commandant l’Infanterie de la 24° Division, cite à l’ordre de
La 1ère section de la 2° compagnie commandée par le sous-lieutenant Morel
:
« Dans la nuit
du 16 au
P.C. LE
Signé : LAGRUE
Ordre du
Régiment N° 264 Du
Le Lieutenant-colonel commandant le 50° R.I. cite à l’ordre du Régiment :
La 1ère Compagnie de Mitrailleuses du Régiment, sous le commandement du
capitaine Hérault, puis du lieutenant Parinet :
« A tenu pendant plusieurs mois un secteur très dangereux, très prés de l’ennemi, souvent attaqué et malgré de grosses pertes n’a pas laissé à l’ennemi un pouce de terrain. »
P.C. le
Signé : LARRIEU
Ordre du
Régiment N° 265 Du
Le Lieutenant-colonel commandant le 50° R.I. cite à l’ordre du Régiment :
La 1ère C.M. de BRIGADE (3° C.M. du 50° R.I.), sous le commandement du capitaine Fourgous
:
« A tenu pendant plusieurs mois un secteur très dangereux, très prés de l’ennemi, souvent attaqué et malgré de grosses pertes n’a pas laissé à l’ennemi un pouce de terrain. »
P.C. le
Signé : LARRIEU
Ordre du
Régiment N° 263 du
Le Lieutenant-colonel commandant le 50° R.I. cite à l’ordre du Régiment :
La 5° DEMI-SECTION de la 3° Compagnie sous les ordres du sergent Couvrat-Desvergnes
:
« En
patrouille au nord de Beaumont, le
P.C. le
Signé : LARRIEU
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