VALLABREGUES

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Nom : Bouche

Numéro matricule

du recrutement

254

Prénom :    Eugéne Joanin    Surnom :

Classe de mobilisation

1905

ETAT-CIVIL

 

Né le 22 janvier 1888, à Vallabrégues , canton

d'Aramon   , département du Gard, résidant

à Aix, canton d'u dit, département

du BdR, profession de Enfant de troupe

fils de   Louis Antoine      et de Louise Equin  , domiciliés

à Vallabrégues , canton d'Aramon , département du Gard

 

Marié le

SIGNALEMENT

 

Cheveux et   , sourcils bruns

yeux gris bleu  , front ordinaire

nez moyen , bouche moyenne

menton rond    , visage ovale

Taille 1m.  70 cent. Taille rectifiée 1m     cm

 

Marques particuliéres :

Degré d'instruction :  3

 

DECISION DU CONSEIL DE REVISION

 

Classé dans la partie de la liste en 19 09   

Classé dans la     partie de la liste en 19    

 


DETAILS DES SERVICES ET MUTATIONS DIVERSES

 

Inscrit sous le n°  6   de la liste

 

Incorporé au 55ème régiment d'infanterie à compter du 22 janvier 1906 comme engagé volontaire pour 5 ans le dit jour à la mairie de St Hippolyte du Fort

Arrivé au corps et soldat de 2ème classe le 23 janvier 1906

Caporal le 26 mai 1906

Sergent le 7 mai 1908

Passé le 21 décembre 1908 pour convenances personnelles au 1er régiment de zouaves par permutation

Incorporé au 1er régiment de zouaves à compter du 21 décembre 1908

Arrivé au corps et sergent le 9 janvier 1909

Sergent fourrier le 6 juin 1909

Rengagé pour un an le 1er juin 1910 à compter du 22 janvier 1911 en vertu de la loi du 21 mars 1905

Rengagé pour un an le 28 juin 1911 à compter du 22 janvier 1912

Passé le 27 janvier 1912 au 3ème régiment de tirailleurs algériens par permutation

Sergent le 27 janvier 1912

Sergent fourrier le 11 mai 1912

Rengagé le 7 octobre 1912 pour trois ans à compter du 22 janvier 1913 à la sous-intendance militaire de Fez (Maroc)

Sergent fourrier rengagé le 9 octobre 1912

Sergent-major rengagé le 30 décembre 1912

Rayé des controles du 3ème régiment de tirailleurs algériens le 15 avril 1913

Incorporé au 7ème régiment de tirailleurs algériens à compter du 15 avril 1913 comme sergent-major venant des sergents-majors du 3ème régiment de tirailleurs algériens

Arrivé au corps et sergent-major le dit jour sergent major le 13 octobre 1913

Sergent major le 2 février 1914

Adjudant le 11 septembre 1915

Promu sous-lieutenant à titre temporaire le 1er décembre 1914

Tué à l'ennemi le 7 février 1915

Rayé des controles le 8 février 1915

 

 

Tué à l'ennemi

 

 

 

CAMPAGNES

 

Algérie du 18 janvier 1909 au 11 mai 1912

du 12 mai 1912 au 12 octobre 1913

contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 7 février 1915

 

BLESSURES, ACTIONS D'ECLAT

Décorations, etc

 

 

 

 

 

PERIODES D'EXERCICES

 

 

 

Réserve

 

Armée territoriale

1re dans l                          , du        au  

2° dans l               , du     au

1re dans l              , du       au

Supplémentaires dans l               du       au

Spéciales aux hommes du service de

garde des voies de communication

  Du              au

  Du              au

CORPS D'AFFECTATION

 

 

Armée active

 

 

55ème régiment d'infanterie

1er régiment de zouaves

 

 

 

Disponibilité et réserve

de l'armée d'active

 

 

 

Armée territoriale

et sa réserve

 

 

 

 

LOCALITES SUCCESSIVES HABITEES

Par suite de changement de domicile ou de résidence

Dates

 

 

 

 

Communes

 

 

 

Subdivision de région

 

 

 

 

EPOQUE

A laquelle l'homme doit passer dans

la réserve de

l'armée active

l'armée territoriale

la réserve de

l'armée territoriale

DATE de la libération

du service militaire

1912

23 janvier 1911

 

 

 

1 8bre 1919

1 8bre 1925

23 janvier 1931

 

Ne remplir ce tableau que pour les hommes dont les services font

l'objet d'un décompte spécial (engagés, condamnés, omis, etc.)

 

 

 

 

2e Régiment de Marche de Tirailleurs

Compose la 37ème D.I. algérienne en 1914, 5ème Armée

(Inclut le premier 6e régiment de marche de tirailleurs jusqu’à sa dissolution le 26 septembre 1914)

Les 22 et 23 août 1914, il participe à la bataille de Charleroi (combats de Fosse et Mettet), puis le 29 août à la bataille de Guise (attaque de la Ferme de Bertaignemont) et enfin, du 6 au 9 septembre, à la 1ère bataille de la Marne (la division est en réserve d’armée lors de la bataille des deux Morins) ;

Transporté dès le 11 septembre 1914 dans l’Oise, il participe du 15 au 18 septembre à la 1ère bataille de l’Aisne dans la région de Cuts et Blérancourt, puis commence une longue période de stabilité dans la région de Tracy-le-Mont qui dure jusqu’à mi-juillet 1915, entrecoupée d’actions offensives les 21 et 25 décembre 1914 au nord-est du bois Saint-Mard, du 6 au 14 juin 1915 vers Quennevières.

Le 5/2e RTA est cité à l’ordre de l’armée lors de cette dernière action.

Relevé le 8 juillet 1915, il se reconstitue dans la région de Pierrefonds, puis il rejoint la région de Mourmelon et Suippes le 10 août 1915.

Du 25 septembre au 2 octobre 1915, il participe à la 2e bataille de Champagne (combats vers l’Epine de Védegrange).

1ère citation à l’ordre de l’armée.

Transporté dans les Flandres le 9 octobre, il stationne dans la région de Bergues jusqu’au 6 janvier 1915.

Du 6 janvier au 12 février 1915, il est au repos dans la région de Bar-le-Duc, puis à l’entraînement au camp de Mailly ; à partir du 14 février il rejoint la région de Verdun.

Du 23 au 25 février 1916, il combat à Verdun sur la rive droite vers Louvemont, la côte du Talou et la côte du Poivre.

Après un séjour en Lorraine, il effectue un 2ème séjour à Verdun, du 24 avril à la fin juin 1916, dans le secteur Avocourt et le Bois Carré.

Il revient pour un 3ème séjour à Verdun, du 12 au 27 juillet (attaques sur Fleury les 15, 16 et 17 juillet).

Après un nouveau séjour en Lorraine où il est en secteur dans la région du bois d’Aulnois (entre Pont-à-Mousson et Armaucourt) du 18 août au 27 septembre, il rejoint de nouveau la région de Verdun.

D’abord en réserve d’armée, il monte en ligne pour un 4ème séjour à Verdun, du 2 au 21 novembre1916, vers le village et le fort de Douaumont, puis pour un 5ème séjour à Verdun, du 14 au 19 décembre 1916 (attaque bois de Chaume, bois des Caurières, ferme des Chambrettes et Bezonvaux).

2ème citation à l’ordre de l’armée.

Après avoir tenu différents secteurs dans la Marne, il participe, du 16 au 19 avril 1917, à la 2e bataille de l’Aisne (attaque du Mont Spin). 3ème citation à l’ordre de l’armée.

Après un long séjour en Lorraine jusqu’au 18 août 1917, puis dans la Marne, il effectue un 6ème séjour à Verdun, du 1er au 14 octobre 1917, vers Damloup et le bois des Caurières, puis un 7ème et dernier séjour à Verdun, du 21 novembre au 6 décembre 1917, vers la cote 344 et la ferme Mormont (attaque de la cote 344 du 25 au 29 novembre).

Citation à l’ordre de la division.

A l’issue d’un bref repos dans la Marne, il retrouve la Lorraine à la fin de l’année 1917.

Transporté dans l’Oise à partir du 11 avril 1918, puis dans la Somme, il est engagé du 8 mai au 24 mai 1918 vers le bois Hangard et Villers-Bretonneux, puis du 30 mai à fin juillet face à Hangard :

Du 8 au 12 août 1918, il participe à la 3e bataille de Picardie (attaque du plateau de Moreuil vers Hailles et le bois de Sénécat).

4ème citation à l’ordre de l’armée.

Retiré du front pour se reconstituer, il remonte en ligne du 27 août au 25 septembre 1918 et participe à la 2e bataille de Noyon (conquête du faubourg de Paris, puis du faubourg d’Amiens et attaque du Mont Saint-Siméon) puis à la poursuite vers Tergnier.

5ème citation à l’ordre de l’armée (pour les combats des 29 et 30 août)

Après une période de repos, il remonte vers le front. D’abord en 2ème échelon, il passe en 1ère ligne le 2 novembre 1918 devant le Hérie-la-Viéville et participe à la 2e bataille de Guise, puis à la poursuite vers la Meuse par Hirson.

6ème citation à l’ordre de l’armée.

 

 

Historique du 2e Régiment de Marche de Tirailleurs

 

 

 

Lieu d'inhumation inconnu à ce jour